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Il y a toujours des connards dans le monde et l'école ne fait pas ne fait pas l'exception ( Pv Clémentin)
AURORE FORKS  :: Vers d'autres contrées :: Les États-Unis :: Seattle :: Université de Seattle
Robin N. Oak
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Robin N. Oak
† Âge : 18 ans et demi, presque 19
† Emploi : Étudiant en ébinisterie
† Allégeance : A Jacob Black, mon chef de meute
† Statut civil : Célibataire
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sujet : Il y a toujours des connards dans le monde et l'école ne fait pas ne fait pas l'exception ( Pv Clémentin) Sam 24 Fév - 18:52
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Le soleil se lève à peine sur la petite ville de Forks, dans un ciel pour une fois, sans aucun nuage à l'horizon.
Je devais me rendre à l'école pour rencontrer le professeur qui allait me superviser pour le travail qu'on nous demander pour la rentrée. Ce qui permettait aux élèves d'être bien encadré, bien guider et surtout cela leur permettait de se rendre vraiment compte concrètement ce que c'était l'ébénisterie et de pouvoir changer d'orientation si cela ne leur convenait pas.

Bien que le rendez-vous aurait lieu en début d'après-midi, vers 14h, j'avais l'attention d'y passer la journée afin de me familiariser avec le lieu et peut être essayer d'avoir la permission de suivre quelques cours comme élève libre, ainsi j'aurai déjà quelques repères pour ma première année. Je sais que c'est possible dans certaines écoles.

Je m'y serai bien rendu par mes propres moyens, en passant par la forêt, Seattle n'était cas qu'une petite heure de Forks sous ma forme lupine. Mais malheureusement pour moi, Parrish devait s'y rendre aussi pour un truc.
Je n'avais pas vraiment d'arguments pour refuser de faire le trajet avec lui, vus qu'il ignore ma véritable nature.

Durant le voyage, j'avais bien vu qu'il avait essayé à plusieurs reprises d'entamer la discussion sur le fait d'attendre la fin de l'année scolaire pour commencer à travailler sur mon projet d'entrée, de prendre le temps de digérer les traumatismes que je venais de subir. Il aborda également le sujet de mes fréquentations, dont certaines selon lui, n'avait pas une bonne influence sur moi.

J'étais resté silencieux la plus part du temps, préférant regarder le paysage qui défilait que engager la conversation.
De toute façon, qu'est ce que je pouvais répondre ? Rien, je ne pouvais rien lui dire car il ignore que je ne suis pas vraiment un humain normal. Il ne pouvait pas comprendre car il ignore ce que ce qui c'est véritablement passé, que j'appartiens à un autre monde qui n'a rien à voir avec le sien.
Je ne pouvais pas non plus lui donner plus d'explication sur mes fréquentations, ni sur le fait que j'avais retrouvé des membres éloignés de ma famille. En effet, il s'avère que mon nouveau Alpha, Jacob et moi nous descendions tout deux d'Ephraïm Black, sauf que lui c'est en ligne droite.
Comme je ne sais toujours pas si ceux qui avaient massacre les mieux, sont encore vivants, je ne voulais pas qu'on sache que j'avais encore de la famille.

Je sais que Parrish n'apprécie pas vraiment ceux qui habite la réserve car vus que j'avais accepté de rejoindre la meute. J'étais pratiquement jamais au foyer,j'étais soit dans mon atelier à travailler sur mon projet ou j'étais avec ma nouvelle meute, entrain de patrouiller pour apprendre à se connaître. Mais c'était extrêmement dur pour moi car j'avais toujours du mal à muté sans que les souvenirs de ce jour funeste, reviennent à la surfaces. Je ressentais toujours la même sensation de peine d'absence des miens quand je prenais ma forme lupine. Je ne sais pas vraiment l'expliquer mais à chaque fois que je muté, j'avais pendant un millième de seconde, la sensation de perdre.
J'ai bien conscience que ça évolue, ce n'est plus autant douloureux qu'au début, quand j'ai rencontré pour la première fois, Leah et Seth. Mais c'était toujours là. Les esprits de ma nouvelle meute n'avaient pas la même " sensation " que des miens. Avec Scott, Père et les autres, c'était différents, je ne sais vraiment pas l'expliquer mais ça me manque. C'est vrai que j'ai dû mal à aller vers eux, comme si j'avais peur de m'attacher à nouveau, de prendre le risque de perdre à nouveau.

J'avais simplement dit qu'il ne pouvait pas me comprendre parce qu'il n'avait pas vécu par quoi j'étais passé et qu'il n'avait aucune idée de qui je suis. Avant de laisser mon esprit vagabonder, en reportant mon attention sur la route qui défile.
Au bout d'un certain temps, Parrish arrêta de parler et laissa le silence s'installer.

Une fois arrivé sur le campus de l'université, je l'ai remercié de m'avoir conduit et j'ai terminé en disant mon attention de quitter le foyer et de prendre un logement dès que le dossier de succession sera terminée.
Le ton que j'avais utilisé montrait bien qu'il n'y avait aucune discussion possible.

Je m'éloigne rapidement de la voiture et je me rends, dans un premier temps, au bureau des inscriptions, pour demander les conditions pour suivre certains cours comme élève libre. Cela m'a pris quelques temps mais j'en suis sorti avec le document qui me donnait le droit de suivre certains cours et un accès pour la bibliothèque.
L'heure de midi allait bientôt sonner et vus que j'avais encore quelques heures devant moi, je décide de me rendre à la bibliothèque. J'ai toujours adoré les livres, ça me vient de Maman. C'est elle et Grand père qui m'avaient donné le goût pour la lecture.

Une fois entré dans le bâtiment, je cherche les indications de la bibliothèque.
Celle ci semble assez grande car elle s'étant sous une immense baie vitré qui sur tout le premier étage. Il semble avoir plus coins aménagé avec de la verdure et pour certains avec des fauteuils et pour d'autres, des bureaux.

Je m'avance et je remarque qu'on peut y accéder par les escaliers ou par un ascenseur. Il y a un petit groupe d'étudiant qui semble embêter une personne, en la bousculant. La porte de l'ascenseur s'ouvre et le groupe s'en presse d'y entrer en laissant derrière eux, une personne en chaise roulante qui semble résigner à se laisser faire.
Au bout de quelques secondes, je vois que la personne appuie sur le bouton pour faire redescendre l'ascenseur mais cela ne semble pas marcher. En effet, un membre du groupe d'étudiant, n'avait rien trouvé de mieux à faire d'appuyer sur un bouton qui bloquer temporairement l'ascenseur.

J'avais observé la scène de loin. De ma position, prés de la porte d'entrée, j'avais pu facilement tout voir.
Je pouvais voir la souffrance et le mal être de la personne en chaise roulante. Je voyais bien qu'elle essayait de trouver une solution.
Je pousse un soupir et je décide de m'approcher d'elle.

- Bonjour, escuses moi, j'ai vus que vous auriez voulu aller à la bibliothèque mais qu'il avais un soucis avec l'ascenseur ? Si vous voulez, je peux t'aider.

Le jeune homme me regard avec un léger étonné, bafouiller un peu, me remercia mais on devait simplement attendre que l'ascenseur soit débloquer, ça ne prenait que quelques minutes normalement.

Un très léger sourire se dessine aux coins de mes lèvres, baissant légèrement la tête. Je pouvais facilement deviner à son comportement que ce n'était pas la première fois que cela lui arrivait. Et sue contrairement à ce qu'il disait, ça allait prendre plus que quelques minutes pour que l'ascenseur reparte.
Je vois une chaise à proximité des escaliers

- Vous permettez?

Sans attendre une réponse de sa part, je le pousse jusqu'à la chaise. Une fois arrivé à proximité, je dépose mon sac et je me mes face à lui :

- Monte sur mon dos, je vais te porter jusqu'à la bibliothèque. T'inquiète pas, ça va bien se passer, vous n'allez toute même pas attendre que l'ascenseur marche à nouveau ?

Je le vois hésiter et puis me demande si je suis sûr de ce que je fais. Que si je l'aide, j'aurai sûrement des problèmes avec le groupe d'étudiant.
Je le regard en souriant :

- Oui, t'inquiète pas. J'aidais mon père à porter des gros sacs. Ce n'est pas dans mes habitudes de laisser ce genre d'individus me dire ce que je dois faire. Alors?

Il hésite quelques secondes avant d'accepter, tout en me remerciant et se présentant comme s'appelant Ethan

Tout en me retournant et en m'abaissant :

- Avec plaisir, Ethan, moi c'est Robin et je vais commencer l'ébénisterie en septembre.


Il s'accroche à mon dos, disant qu'il était en premier année d'architecture.
Je me redresse et je commence à monter la volé d'escalier qui mènent au premier étage.
Ethan était assez léger si je peux dire, en tant que modificateur, j'étais beaucoup plus fort qu'un humain normal. C'est pour cela que depuis la première fois que j'avais muté, Papa m'avait appris à bien contrôler ma force, afin de ne pas éveiller de soupçon.
Une fois arrivé en haut, je m'approche d'un fauteuil où je le dépose et puis je retourne chercher son fauteuil, ainsi que mon sac.

Une fois de retour, je vais m'installe à mon tour au bureau, je sors les documents qu'on m'avait remis concernant les élèves libres, ainsi que sur les différents cours que j'allais avoir.

Bien que je suis concentré sur la lecture de mes documents, je reste attentif à mon environnement, je remarque le bruit de plusieurs pas qui s'approchent avant de s'arrêter et j'entends une voix masculine qui me demande de mettre à genoux et de le porter en bas puisque je suis apparemment un baudet.

Sans relever la tête, tout en continuant à lire :

- Bah apparemment tu sais tenir sur tes jambes même si c'est ton cerveau qui bug, donc non....

Je laisse le silence s'installer, tout en espérant que ça n'ira pas plus loin car je n'aime pas trop attiré l'attention mais bon, Maman m'avait appris à ne jamais laisse personne sur le côté et à toujours aider les plus faibles.....


Il y a toujours des connards dans le monde et l'école ne fait pas ne fait pas l'exception  ( Pv Clémentin) 7vbtde
Clémentin Dormant
Humain

Clémentin Dormant
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sujet : Re: Il y a toujours des connards dans le monde et l'école ne fait pas ne fait pas l'exception ( Pv Clémentin) Mer 28 Fév - 19:45
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Il y a toujours des connards dans le monde, et l'école ne fait l'exception
Clémentin s'était levé à 5h du matin et ressentait maintenant la nécessité d'affronter la dure réalité... il avait besoin d'un café. Bien que le breuvage soit absolument imbuvable, c'était ça ou il allait s'endormir sur son banc. C'est le prix à payer quand on a un Husky beaucoup trop enthousiaste. Une petite promenade d'une heure sous la pluie alors que le soleil n'est pas encore levé, qui n'en rêverait pas. Le jeune homme ne regrettait absolument pas que son père ait ramené Fluffy à la maison, bien au contraire, ça lui permettait de garder les pieds sur terre. Ça lui donnait un objectif, une raison de sortir de son lit le matin. Mais devoir se lever avant les poules, c'était un peu trop. Au moins, il pouvait avoir la satisfaction de se dire qu'il promenait son chien, lui. Il se faisait un malin plaisir à juger la petite mémé du coin de la rue qui ne posait pas le pied dehors pour aller promener Kiki le bichon et qui était tout de même étonnée quand celui-ci tapait un croc dans le premier gosse qui passait à vélo devant chez elle.

Et dire qu'il aurait pu ne jamais arriver jusqu'à l'université. Son 4x4 avait montré des protestations quant au nombre de kilomètres à parcourir entre Forks et Seattle et avait failli l'envoyer dans un mur lorsque la direction avait refusé de tourner vers la gauche. Ce n'était pas seulement son 4x4 qui protestait d'ailleurs, son portefeuille pleurait aussi. La seule consolation de Clémentin était qu'il allait bientôt avoir terminé son cursus et qu'il pourrait enfin commencer à travailler à plein temps en tant que bibliothécaire. Ça pouvait peut-être annoncer un tournant dans sa vie. Qui sait, il pourrait enfin convaincre sa mère qu’il était temps qu’elle lâche l’espoir que son mari devienne quelqu’un de décent et d’enfin commencer une vie normale à eux deux. Comme au bon vieux temps, quand ils étaient encore heureux, quand l’autre décrépit n’était pas là.

Une fois le café en sa possession, il retourna à sa place dans la bibliothèque. Il était assez bien mis pour que les autres étudiants ne voient pas ce qu'il était en train de faire sur son ordinateur, tout en ayant un champ visuel sur le reste de la salle. Pas qu'il était en train de regarder des choses spicy, mais il n'aimait pas l'idée que l'on puisse voir ce qu'il faisait. Il savait qu'il avait lui-même la fâcheuse tendance de jeter un coup d'œil à l'écran des autres quand les cours devenaient un peu longs à son goût, donc il se doutait qu'il n'était pas le seul à le faire, et il ne serait pas le dindon de la farce dans cette histoire.

Quand on boit un café, c’est toujours la première gorgée la plus douloureuse. Entre-temps, votre palais a pu retrouver un sens du goût, et replonger dans les bas-fonds des décoctions abjectes n'était sûrement pas dans son programme. C’est comme si on redécouvrait à chaque fois l’horreur de l’amertume qu'il émane. Son visage se crispa après la gorgée fatidique, et il retourna son attention sur ses cours.

Sa concentration fut de courte durée. OK, c’était amusant deux secondes de savoir que Sartre était dans une relation libre avec Simone de Beauvoir, mais l’utilité de connaître ce genre de détail lui échappait et l'incitait juste un peu plus à remballer ses affaires pour retourner à Forks et bricoler sur sa Suzuki avec Callum. On pouvait lui reconnaitre une chose, il était en avance sur son temps, le J-P.

Le bruit autour de lui lui donnait l'occasion parfaite d'arrêter de s'occuper des philosophes et de faire autre chose. Malheureusement pour le blondinet, il s'agissait juste d’une personne qui s'installait. N'ayant plus aucune raison de procrastiner, Clémentin retourna son attention sur son ordinateur sans trop s’attarder sur le nouveau venu assis à deux bancs de lui.

C’est quand il lut l'histoire de la mort de Descartes, qui avait littéralement succombé d'une pneumonie parce qu’il se levait à 5 heures du matin pour suivre des cours alors qu’il faisait dégueulasse dehors, que Clémentin se dit que c’était peut-être un signe du destin. Celui-ci lui disait de tout arrêter. Il ne pouvait pas mourir comme ça. Il voulait au moins une mort héroïque. Genre en sauvant un enfant de la noyade… non pas un enfant, il avait la fâcheuse tendance à l’épuiser et puis peut-être que le gosse était horrible et qu’il méritait de mourir de toute façon. Non, il préférait mourir en sauvant un chien, ça c’était une valeur sûre. Bonus si ce chien c’est Kiki, il passerait pour le bon gars comparé à la mégère du coin de la rue. Et puis il pourrait hanter son père par la suite, ça lui rendrait la monnaie de sa pièce à l’antédiluvien.

C’est quand il entendit un jeune demander à quelqu’un de se mettre à genoux qu’il releva la tête. Toute tentative de concentration le quitta et il releva ses yeux de bronze en direction des voix. En France, généralement les bibliothèques étaient silencieuses et si quelqu’un ne l’était pas, il la fermait assez vite en voyant les regards meurtriers des autres, donc quelqu’un qui ne tentait même pas de chuchoter l’intriguait.

« L’ordre » s’adressait au nouveau venu apparemment. Il y avait aussi plusieurs jeunes derrière celui que Clémentin estimait être le meneur – meneur était un grand mot, meneur de bras cassé peut-être. C'était un peu ridicule de faire ce genre de requête ; on était plus en primaire ici, peut-être qu’il fallait commencer à agir comme des adultes dotés d’un cerveau. Ils semblaient cependant tous être jeunes. Pas que Clémentin soit vieux, bien au contraire, il était dans la fleur de l’âge, un vrai petit jeunot évidemment. Il n’avait pas du tout mal au dos comme un vieux de 50 ans. Non non non, il était jeune et pimpant comme eux !

Une chose est sûre, ils n’en avaient jamais vu un seul dans les parages. Peut-être des nouveaux venus ? En y regardant de plus près, le petit crollé semblait encore plus jeune que la bande de joyeux lurons écervelée qui le zieutait d’un peu trop près au goût du blondinet. La réponse du jeunot le fit sourire légèrement ; il avait l’air de bien s’en sortir tout seul. Peut-être que Clémentin n’aurait pas à sortir sa cape de chevalier pour s’interposer aujourd’hui. En tout cas, ça lui donnait une raison de ne pas travailler, et pour ça, il était reconnaissant.
(code) awona // avec @Robin N. Oak



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sujet : Re: Il y a toujours des connards dans le monde et l'école ne fait pas ne fait pas l'exception ( Pv Clémentin) Mer 13 Mar - 15:43
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Je suis sensé être dans une bibliothèque, entrain de lire des documents qu'on m'avait donné quelques temps au paravant.
On est bien d'accord qu'une bibliothèque est un endroit remplit d'ouvrages sur de multiples domaines et où normalement règne un certain silence ? C'est bien ça ? Bah oui,je préfère vérifier que j'avais bien la même définition du mot car apparemment ce n'est pas le cas pour tout le monde.
Pourquoi je dis ça? Parce qu'il y un handicapé du cerveau qui est entrain de faire un caca nerveux parce que je l'ai empêcher de rabaisser un élève. Ah oui j'ai oublié de préciser, que je l'avais fait devant tout ses copains......
Mais que voulez-vous ? Je ne suis pas le genre de gars qui regard ailleurs quand quelqu'un a besoin d'aide,non.
Qu'on m'insulte, qu'on se moque, qu'on m'humilie, qu'on me crache dessus ,si c'est pour faire plaisir, c'est bête et méchant, mais si ça défouler allé y, je n'en rien à foutre, j'en ai l'habitude mais une chose que je ne tôlerai pas, c'est qu'on s'en prenne aux plus faibles, ceux qui ne sont pas capables de se défendre.

J'essaye péniblement de ne pas prête attention à l'autre crétin des Alpes qui essaye de montrer qu'il est le boss. Mais j'avoue que j'ai un peu beaucoup de mal.

Je dois dire que ma patience n'est pas très grande ces derniers temps.... Déjà le trajet avec Parrish, l'a déjà bien entamé, je ne suis pas très sûr qu'elle va supporter l'autre enfoiré du cerveau.
Mais d'un autre côté, je n'ai pas particulièrement envie de me faire remarquer pour mon premier jour... et surtout en se moment .....

Je l'entends blablater sur le fait que j'étais soit disant un baudet patati et patata.
Oh je sens que ça ne va pas le faire, que je vais l'envoyer valser dans tout les sens du termes s'il continue.

Je pousse un soupir, tout me redressant et lui faisant face. Je ne sais pas m'empêcher de pousser un très léger grognement d'agacement mais heureusement , trop bas pour être perçu par une oreille humaine.
Je garde toute même une distance de sécurité. Vus que je suis légèrement claustrophobie, j'ai toujours veiller à avoir un certain espace autour de moi afin d'éviter de faire une crise.
Je le regard un peu en biais, la tête légèrement baissé.
Je sais par expérience que comme j'avais les yeux vairons, cela mettait les gens sont mal à l'aise. En temps normal, je n'avais aucun mal à regarder les gens dans les yeux. Mais depuis le massacre des miens, je n'y arrivais plus. Peut être qu'inconsciemment, je ne voulais pas attirer l'attention sur moi, je n'étais peut-être pas encore prêt pour une confrontation ??

- Tu sais que tu es dans une bibliothèque ? Tu vois l'endroit où le silence est sensé régner? Mais c'est vrai que vu ta tête et ton cerveau qui bug, ça doit être compliqué

Ah le crétin des Alpes ne semble pas vraiment apprécier puisque qu'il tente de me donner une mais que j'esquive facilement. Tout en attrapant son poignet.

- Arrête, je ne suis vraiment pas d'humeur!! Va jouer au caïds dehors et laisse nous tranquille !!!

Je le lâche et le repousse très gentiment.
Mais apparemment j'ai peut-être mis un tout petit peu de force vus qu'il tombe à la renverse.
Il se redresse immédiatement, énervé car certains de ses amis ont laissé échapper un petit rire.
Il se met en position de combat, bien décidé à se vengé.
Je le regarde, sans bouger, espérant qu'un membre du personnel éducatif intervienne.
Je n'avais même pas besoin de prendre une posture de défense car ça se voyait que sa posture laissait beaucoup trop d'ouvertures....

Il s'élance vers moi, bien décidé de mettre son poing dans le visage.
J'ai le temps de voir son poing venir tellement qu'il est rapide, aussi rapide qu'un paresseux, que je fais simplement un pas sur le côté.
Le crétin des Alpes est tellement pris dans son élan, qu'il vient s'écraser sur un garçon qui se trouvait là.

Bon bah pour la discrétion, je repasserai.....
Il faut absolument que je sorte de cette endroit avant qu'un autre crétin ait l'idée de venger son copain.
Je rassemble rapidement mes affaires que je fous dans mon sac et je me dirige vers les escaliers pour sortir rapidement du bâtiment.....


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sujet : Re: Il y a toujours des connards dans le monde et l'école ne fait pas ne fait pas l'exception ( Pv Clémentin) Mar 9 Avr - 23:48
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Il y a toujours des connards dans le monde, et l'école ne fait l'exception
Est-ce qu’il allait assister à une bagarre dans une bibliothèque ? Ce serait la première fois qu’il verrait ça de ses propres yeux. Encore heureux qu’il n’était pas d’humeur à travailler, sinon il aurait sûrement vociféré un milliard de fois sur les jeunes en face de lui. D’ailleurs, en y regardant de plus près, les autres étudiants soupiraient. Est-ce que c’était un truc courant ici ? C’est pas le genre d’enfantillage qu’on laisse au collège ça ? L’Amérique c’était vraiment un autre monde.

Par contre, le dénouement de la confrontation était un peu long, et vraiment les arguments étaient plus que douteux et pas vraiment compréhensibles. Peut-être que c’était encore un truc culturel qu’il ne comprenait pas et en fait, c’était une baston verbale des plus palpitantes. Mais bon, il avait des doutes, c’étaient sûrement juste des gamins qui faisaient des trucs de gamins. C’est avec un air des plus ennuyé que Clémentin sirotât une petite gorgée de son café (une petite parce qu’une grosse ça aurait détruit son palais gustatif).

Oh ! Ça commençait à devenir physique, voilà qui pourrait être intéressant ! Pas qu’il aimait particulièrement les bagarres, ça avait même plutôt tendance à l’emmerder, genre pourquoi vous n’allez pas faire ça dehors ? Mais dans la situation actuelle, où étudier n’était vraiment pas dans les plans du blondinet, c’était une occasion parfaite de ramener une petite histoire saugrenue à la maison. Et surtout, ça lui donnait l’occasion de commérer avec August sur la stupidité humaine. Il eut un petit rictus quand il posa son café en échange de son téléphone pour décrire la situation par SMS à la jeune femme.

Bon, la baston au corps à corps ce n’était pas trop ça apparemment. Ça devrait être un crime d’être si peu doué. Leur père ne leur apprenait pas à se taper sur la gueule aux jeunes d’aujourd’hui ? Tss, les mauviettes. Une bonne guerre, voilà ce qu’il faudrait.

Vous voyez, l’aspect pratique d’avoir grandi avec un père un peu dur (juste une chouillat), c’est qu’on s’attend à chaque moment à recevoir un parpaing dans la gueule, ce qui en grandissant est bien pratique parce qu’on peut prédire les mouvements des autres avant qu'ils n'arrivent. C’est donc avec une certaine grâce que Clémentin avait esquivé le boulet qui s’était écroulé sur sa table. Il n’en était pas peu fier, la gêne de se retrouver avec un gamin sur les genoux ça aurait été trop pour le blondinet aujourd’hui. Sa petite victoire avait été de courte durée, car même si Clémentin était sorti indemne de cette confrontation peu glorieuse, ce n’était pas le cas de son café qui gisait actuellement sur le sol. Ça par contre, ça rendait Clémentin un peu bougon, le prix du café avait fait un petit trou dans son portefeuille et le voilà par terre.

Une fois son deuil fini, il releva la tête pour voir que le petit crollé n’était plus là. Alors ça non ! Lui et l’autre fleur de nave pouvaient se permettre de faire un raffut de tous les diables mais pas de renverser son précieux breuvage. C’est avec une nouvelle détermination que Clémentin choppa ses affaires ainsi que le gamin - qui était toujours étendu sur son banc - par l’oreille et qu’il le traina à l’extérieur de la bibliothèque sous la douce mélodie de ses protestations.

Une fois qu’il vit le petit crollé de loin, il éleva la voix pour qu’il puisse l’entendre : « Hé ! Le bélître là ! Votre accrochage à toi et au moule à gaufre m’a coûté un café. Vous décidez qui mais il en faudra un qui nettoie votre connerie dans la bibliothèque et un autre qui me rachète le café. C’est pas une plaine de jeu ici, c’est l’université. » Il n’était pas spécialement énervé mais vraiment le café c’était trop, faut pas pousser mémé dans les orties.

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sujet : Re: Il y a toujours des connards dans le monde et l'école ne fait pas ne fait pas l'exception ( Pv Clémentin) Dim 14 Avr - 12:25
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De l'air, j'ai besoin d'air!! Je me précipite à l'extérieur du bâtiment,  sans prêter la moindre attention à ce que ce qui pourrait se passer à la bibliothèque,  ou aux dégâts que l'autre handicapé du cerveau avait pu faire.
Quelques secondes plus tard, je me retrouve dehors entrain de profiter d'un grand bol d'air, ce qui me calme légèrement.
Mais qu'est ce qui m'a prise d'accepter de faire le trajet avec Parrish ? J'aurai dû deviner que ça allait me mettre une pression supplémentaire sur le dos,  vus que depuis la disparition des miens,  j'avais plus de mal avec des nouveaux endroits,  je n'étais clairement pas à mon aise, j'étais beaucoup plus nerveux.

Ce qui s'était passé à la bibliothèque,  en temps normal,  je n'aurai pas vraiment autant réagi,  je me serai contenté d'ignorer. Mais là,  j'avais bien sentit que je n'étais pas du tout à mon aise, j'étais beaucoup plus réactif que d'habitude et que ma claustrophobie était plus présente.

Peut-être que Parrish avait raison en disant que je ne prenais pas le temps de digérer ce qui m'étais arrivé ? Peut-être le changement de meute, d'études,  étaient un peu trop?
Non, je ne crois pas car je ne me voyais pas aller dans un collège pour quelques mois avant de commencer mes études.
Je pense que le fait de commencer ce travail d'entrer, me permettait d'avoir au moins un point d'encrage en lien avec mon passé,  qui n'avait pas changé. Le travail du bois est toujours le même que celui que je faisais avec Scott.

Il faudra juste que je sois plus vigilants à l'avenir, que j'ai toujours un moment où je peux aller passer du temps dans la nature. Je vais devoir être beaucoup plus prudent avec mon loup car apparemment,  une partie de moi, n'a pas encore totalement accepté le retour à la civilisation......

Alors que je suis en pleine réflexion,  tout en calmant mon loup, il me semble entendre quelqu'un m'appeler, parlant de intercation,  de café renverse et de payement.

Je prends un bonne inspiration, tout en me retournant et je découvre un jeune homme qui semble être âgé  de quelques années de plus que moi, qui traîne par l'oreille le débile mental.

Je reste silencieux dans un premier temps,  ce n'est pas dans mon caractère de répondre directement et puis je n'ai jamais été très social.

Je le regarde en biais,légèrement baissé :

- Alors il faudra que tu l'explique  au  caïde de la huître,  il ne semble pas avoir compris ce que c'est  et peut être en profiter pour lui expliquer comment fonctionne un cerveau???


Je laisse un léger sourire au coins de mes lèvres.  Oui je sais, je ne fais rien pour apaiser la situation mais franchement, je m'en fou. Tout le monde avait été témoin de la situation, de la manière dont il avait traité Ethan et personne n'avait réagir,  tout le monde trouvait ça normal. 
Bah non, ça ne l'est pas et je ne suis pas ce genre d'homme.

Et puis je n'ai nullement l'attention de payer pour un bête café, car je n'avais pas d'argent sur moi et puis si je me souviens bien, c'est interdit de manger ou de boire dans une bibliothèque afin d'éviter de risquer d'endommager les ouvrages.

Je me retourne et je commence à m'éloigner,  je voulais passé un petit moment dans les bois qui entoure le  campus. Mon loup avait envie de se dégourdir les pattes afin de relâcher la pression.

Mais apparemment, mon interlocuteur ne semble pas avoir compris le message.
Je pousse un léger soupir :

- Je ne sais pas ce que tu veux mais je n'ai pas l'attention de te payer quoi que ce soit ou aller nettoyer pour un truc dont je ne suis même pas responsable. Parce que dans mon souvenir, il est interdit de manger ou de boire dans une bibliothèque

Je laisse  le silence s'installer pendant quelques instants avant terminer :

- Je ne cherche absolument pas les ennuis mais ce n'est pas pour cela que je vais me laisser faire.   Je vis une période assez compliquée en se moment,  alors oui, peut-être j'ai réagi un peu trop brusquement mais je ne suis vraiment d'humeur à supporter ce genre  situation.
Et puis faire un peu de sport,  c'est bien meilleur que du café.

Je laisse le silence s'installer tout en attendant une réaction de la part du jeune homme


Il y a toujours des connards dans le monde et l'école ne fait pas ne fait pas l'exception  ( Pv Clémentin) 7vbtde
Clémentin Dormant
Humain

Clémentin Dormant
Il y a toujours des connards dans le monde et l'école ne fait pas ne fait pas l'exception  ( Pv Clémentin) Sam-claflin-annoyed
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sujet : Re: Il y a toujours des connards dans le monde et l'école ne fait pas ne fait pas l'exception ( Pv Clémentin) Hier à 23:59
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Il y a toujours des connards dans le monde, et l'école ne fait l'exception
Il en mettait du temps pour répondre, le petit. Est-ce que Clémentin avait été trop dur ? Pourtant, il n’avait pas été impoli, du moins il l’avait été subtilement. Il n’avait même pas élevé la voix plus que nécessaire. Tout ce qu’il voulait c’était que les gamins prennent leurs responsabilités et qu’ils assument leurs actes. Nettoyer la merde qu’on a causée c’est la moindre des choses non ? Ou bien peut-être qu’il était déficient là-haut ? Ça expliquerait beaucoup de chose finalement. En tout cas le gamin qu’il tenait toujours par l’oreille commençait à lâcher prise, il ne semblait plus résister, c’était une bonne chose, il pouvait maintenant s’occuper d’un mutilé du bulbe à la fois.

Clémentin avait cligné des yeux répétitivement une bonne dizaine de fois. Est-ce que le petit crollé lui avait bien répondu ça ? C'était lunaire. Non il devait rêver, ce n’était pas possible autrement. Quoi que non, jamais au grand jamais il n’aurait rêvé de ce genre de répartie cringe. Ça ne pouvait être que vrai alors… Le bélître avait vraiment sorti l’insulte « caïd de l’huître », est-ce qu’on pouvait considérer ça comme une insulte ? C’était plutôt un blasphème. Et en plus, il souriait le suppôt de Satan, comme s’il pouvait être fier de son comeback. Est-ce que Clémentin était en face du boss final ? Le cringelord ultime ? Un cousin de Sylvain Durif peut-être, ça expliquerait les crolles.

« Faudrait-il que je t’apprenne aussi comment ça fonctionne ? Je peux vous donner un cours de rattrapage, ça semble nécessaire. Dans l’idéal, il en faudrait plusieurs. » Répliqua Clémentin sarcastiquement tout en gardant un ton poli. Il commençait à lui courir sur le haricot le gamin. Est-ce que lui aussi était comme ça quand il était plus jeune ? Si c’était le cas, il méritait la lapidation, maintenant et tout de suite. Il ne voulait pas vivre avec ce genre de dossier sur le dos.

Comment ça il n’allait même pas nettoyer ça merde ? Et comment ça on ne peut pas boire dans une bibliothèque ? Il pensait que le corps il allait chercher son énergie où ? La roue tourne, mais le hamster est visiblement décédé là en haut. Aurait-il pris deux secondes pour regarder les petits pictogrammes affichés un peu partout dans la bibliothèque, il aurait pu comprendre qu’on pouvait en effet boire et manger, juste qu’il ne fallait pas ramener un petit McDo ou des chips pour des raisons évidentes de distraction. Comme dans toutes les bibliothèques du monde d’ailleurs. Peut-être que le godichon n’avait jamais été dans une bibliothèque avant, ça expliquerait le manque de vocabulaire venant de sa part.

« Je t’invite à te rafraîchir la mémoire en lisant attentivement le règlement de la bibliothèque dans ce cas. À partir du moment où on se bat dans une bibliothèque, je pense que les réparties sorties de l’arrière-boutique n’ont plus beaucoup d’impact. » Le blondinet avait beau essayer de rester poli, il n’avait quand même pas pu retenir sa mâchoire de se crisper. Même l’autre moule à gaufre était beaucoup plus agréable que lui, pourquoi ne juste pas faire preuve de bonne foi et aller nettoyer leurs âneries  ?

« Est-ce que c'était trop compliqué de faire deux pas et d’aller trouver la bibliothécaire pour régler vos différent comme des adultes dotés d'un encéphale fonctionnelle ? Penses-tu que toutes les personnes ici vivent dans monde des bisounours ? Breaking news mon petit gars mais des périodes compliquées, tout le monde en vit. Ce n’est pas pour ça qu’ils viennent foutre le bordel dans une bibliothèque à cause de leur fierté mal placée. » Comme si les tracas des autres ne pouvaient pas être pires que les siens. C’était vraiment une excuse de connard ça, ça répugnait Clémentin jusqu’à l’os. « Tu penses que si je pouvais aller me faire un petit jogging tranquillou billou au lieu de me tuer l’estomac avec du café pour réussir mes études qui coûtent un bras, je ne le ferais pas ? » Il commençait de plus en plus à s’impatienter. S’il pensait être plus malin, il se trompait. Il était au même niveau que son pseudo rival inerte qui était pratiquement allongé sur le sol.

COMMENT ÇA INERTE ?! Il regarda vite fait le gamin qu’il tenait toujours par l’oreille, et en effet, il ne tenait plus sur ses quilles, d’ailleurs il ne tenait plus du tout. Il ne l’avait pas regardé de près en le choppant pour aller trouver l’autre golmon, mais il semblait saigner du nez, comment c’était possible d’être si peu résistant. L’autre crollé ne l’avait même pas poussé il était juste tombé là tout seul. Clémentin n’avait sûrement pas tilté qu’il était HS parce qu’il avait l’habitude de finir évanoui après un petit entraînement sympa avec le papounet.

Doucement, il allongea le gamin sur le sol en position latérale de sécurité, histoire qu’il ne meurt pas étouffé par son propre sang. « Je pense que ton reuf a fait une voldi là. » Dit Clémentin en regardant le bélître. Le blondinet n'avait vraiment aucune chance, il aurait dû rester dans son lit. Au pire, il aurait fait jogger professionnelle, ça semblait être une bonne perspective de carrière, c’était un type de confiance qui lui avait dit.

(code) awona // avec @Robin N. Oak



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Metallica ✻  It takes ten times as long to put yourself back together as it does to fall apart.
 
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