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Lost in time | Stella [En cours]
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Milo Perkins
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Milo Perkins
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sujet : Lost in time | Stella [En cours] Mar 2 Jan - 0:42
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Lost in time
Stella & Milo .01
Janvier 2014

Haletant, l’imposante bête au pelage blanc et gris courrait sans regarder en arrière. Pourchasser par un autre être immortel, il avait l’impression que sa vie était en danger. Le souffle court, foulant rapidement le sol de ses lourdes pattes sans faire pratiquement de bruits si ce n’est que sa respiration qui se voulait un peu bruyante, le loup courrait pour sauver sa peau. Il en était désormais certain alors que celle qui le pourchassait avait un regard de sang, prête à lui briser les côtes, percer son coeur. Le lycan osa un regard vers l’arrière, trébuchant en lâchant un cri de douleur alors que son corps rencontra le sol avec lourdeur. La blonde se tenait là, devant lui la bouche en sang, à le dévisager avec dégoût. La bête se redressa rapidement, refusant de perdre des yeux son assaillante. Et lorsqu’elle celle-ci usa de sa vitesse, passant d’un tronc d’arbre à l’autre pour sauter sur son dos et compresser ses côtes avec force, froideur, le loup hurla de douleur. Se tordit sous celle-ci.

- - - -

En sueur, hurlant face à la douleur, je me redressai rapidement dans mon lit, portant mes mains à mes côtes tout en expirant longuement. Une étrange boule dans la poitrine, je me passa une main dans le visage, retenant un haut-le-coeur face à se cauchemar. Encore une nuit, encore un rêve où Rosalia me pourchassait, voulant me briser. La blonde n’avait jamais cessé d’hanter mes nuits, mais depuis son dernier passage récent et notre altercation avec ces chasseurs qui l’avaient laissés mal en point, je ne cessais de me torturé avec son visage. Chassant les couvertures d’un geste las pour me sortir du lit, j’en profite pour me motiver à me lever, alors que le cadran frôle à peine 4h15. Après, de toute façon, suite à un cauchemar dans ce genre, comment suis-je censé me rendormir l’esprit tranquille? Puis de toute façon, ce soir je dois me rendre à Seattle — peut-être est-ce pour cette raison que mon subconscient est troublé par elle? Et avec ces 3h30 de route, aussi bien me préparer de suite pour pouvoir arriver un peu d’avance à cet exposition.

Ne dérogeant pas de ma routine habituel, j’agrémente mon réveil d’un jogging dans les bois avant de prendre une douche et de rassembler mon matériel et mon appareil, les mettant tous dans le même sac avant de passer quelques heures à bosser devant mon écran. Je prend finalement le volant en fin d’après midi, optant pour une playlist des années 80, remplis de [i]Gun’s Roses, Bon Jovi et Def Leppard.[i] De quoi avoir un trajet intéressant. Mes doigts s’agitent sur le volant, pianotant sur celui-ci au rythme des mélodies, chantant parfois quelques chansons lorsque la motivation y est. Prenant bien soin de garer la voiture cette fois — ce serait top d’éviter une seconde contravention de stationnement à Seattle, dans une zone correcte, optant pour le stationnement de la faculté d’art de l’Université.

L’exposition annuel des étudiants du département est quelques choses qui m’a intéressé dès l’instant où j’ai vue la publicité, ayant toujours apprécié celles de la UCLA lorsque j’y étudiais. Je me laisse guider dans les couloirs par les affiches, arrivant finalement à la pièce du vernissage, où multiples clichés sont accrochés sur les murs, où chaque étudiant devait y présenter sa technique lors du blah blah habituelle que j’ai dû manquer. D’un oeil attentif, je fais le tour de chaque place dédiées aux photographes, analysant avec intérêt chaque images avant de n’arriver sur l’espace de l’une qui me semblait bien en retrait, assez tranquille dans son coin. Ses photographies ont un quelques chose qui attirent mon oeil, le captive au travers sa technique. Les yeux sur les oeuvres, je jette un regard en coin à l’étudiante, charmante au premier coup d’oeil.

Vos photos sont intéressantes, on semble y percevoir beaucoup à travers celle-ci. Il y a longtemps que vous étudiez la photographie?

Les oeuvres captivante de la jeune adulte m’intrigue, me fascine. Ça me fait penser à certaines de mes expositions, assez loufoques par moments — oublions ce temps où Mapplethorpe m’avait inspiré, et le côté silencieux de l’étudiante m’intrigue. Affichant un sourire et oubliant mes bonnes manières, je tend la main à l’humaine ;

Milo, Perkins. Je suis photographe aussi.




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sujet : Re: Lost in time | Stella [En cours] Mer 3 Jan - 7:49
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Milo & Stella - Janvier 2014

Lost in time


Reprendre ses études en plein trimestre c'était loin d'être la situation rêvée. Une si longue pause lui donnait un retard flagrant face aux autres élèves qui avaient de fait bien plus de connaissances qu'elle. Et pourtant, sans trop savoir pourquoi, elle accepta de relever le défi en participant au concours qui mettrait en avant les meilleurs élèves lors d'un vernissage. Peut être était-ce par besoin d'adrénaline pour se sentir vivante, ou l'occasion parfaite pour marquer le début de sa nouvelle vie. Elle n'arrivait toujours pas à trouver réponse à ses questions tandis que l'angoisse s'aggravait. Après tant de temps sans pratiquer comment pourrait elle réussir ? Et pourtant, électrisée par l'esprit de compétition, elle le voulait à tout prix. Sur ce coup elle n'était pas aussi raisonnable qu'elle l'était pourtant d'habitude, mais peut-être était-ce pour la bonne cause ? Peut-être avait-elle besoin de ce coup de fouet pour avancer ? Autant trouver un peu de positif dans sa prise de risque. Risque oui, car perdre pourrait la décourager dangereusement, elle qui était déjà si fragile.

Heureusement, parmi ses craintes, la détermination avait réussie à prendre sa place. Ne pas se laisser aller, tenter coûte que coûte, son talent qui doucement se développait ne pouvait pas avoir disparu. Au détour d'une rue elle trouvait le tableau parfait, ce qu'il fallait pour l'inspirer et lui donner envie d’immortaliser ce moment de vie citadine. Valoriser l'instant présent, la réalité, voilà ce qu'elle aimait. Explorer les aspects souvent négligés de la société contemporaine. Mettre en avant les créations humaines, la diversité sociale en jouant avec la luminosité et les angles de vues. Une passion qui l'aidait à s'oublier tant que la concentration la maintenait, lui redonnant le goût d'être en dehors de chez elle, chose complexe à présent. Elle y mit du coeur, autant qu'elle le pouvait, ce qui porta ses fruits. Un sourire enfin sincère - une exception, étira ses lèvres quand elle fut applaudie lors de sa sélection, un minimum de fierté lui faisant oublier sa gène qui aujourd'hui la rendait nerveuse si elle avait le malheur d'être la cible de tous les regards, après l'avoir tant été pour satisfaire la cupidité d'un autre, il lui était devenu impossible de le supporter.

Ce qui se témoigna lorsqu'il fut son tour de parler de son travail lors du vernissage. Cette fois aucune joie personnelle n'aura su l'aider, rougissante, bafouillant, la catastrophe était telle que l'un des professeurs coupa court au massacre, récupérant la place centrale pour laisser à l'étudiante l'opportunité de cesser sa propre humiliation. Il était évident qu'après ça, elle put profiter d'une grande solitude au milieu des nombreuses discussions qui se faisant autour d'elle. Tout juste un ou deux professeurs venus la consoler comme ils le pouvaient et quelques visiteurs sympathiques qui félicitèrent son travail sans plus s'attarder, elle-même ne se montrant pas très ouverte à la discussion. C'était peut-être mieux comme ça, plutôt que s'enfoncer d'avantage dans le ridicule. L'américaine avait de toute façon tant perdu confiance en elle  en ces quelques minutes qu'elle ne se sentait plus capable de mettre en valeur son travail. Songer que cela mettrait peut-être totalement fin à une hypothétique carrière dans la photographie la déprimait. Quelle déception...

Pour seul réconfort une coupe de champagne pas trop mauvaise, quelques bulles contre le palais en attendant que le temps passe, s'apprêtant à passer l'une des soirées les plus ennuyantes de sa vie avant qu'un inconnu ne vienne changer la donne et dont la curiosité ne manqua pas de la surprendre, le démarquant totalement des autres individus présents à cette soirée. Cela occasionna un levé de sourcils, l'air de prendre pour un fou celui qui s'adressait à elle, avant qu'elle ne se ressaisisse enfin lorsque celui-ci lui tendit sa main, qu'elle serra sans trop y réfléchir. "Euh non.. pas très longtemps.. enfin..." A ne pas trouver ses mots de nouveau elle se désespérait elle-même, il était temps qu'elle se réveille. "En faite j'ai arrêté quelques temps, je les ai repris récemment." Lui raconter sa vie risquait de l'ennuyer, autant changer de sujet. "Vous faites de la photographie urbaine aussi ? Daido Moriyama m'a tellement inspirée que j'ai très vite compris vers quoi je devais me tourner." Parler de sa passion pouvait la changer comme à l'instant, lui faisant oublier le temps de quelques minutes ce par quoi elle était passée et sa peur d'autrui, même l'idée de se présenter, préférant parler de ses photos en se dirigeant vers son exposition, motivée par l'intérêt du jeune homme à l'aura amicale. "J'aime mettre en avant la réalité, avec ses qualités et ses défauts, j'aime son authenticité. Ca me passionne beaucoup plus qu'une mise en scène toute faite." Jusqu'à ce qu'enfin son manque de politesse daigne lui revenir à l’esprit. "Oh euh excusez moi... Moi je suis Stella, Stella Davis. On ne s'était pas vraiment intéressé à ce que je fais jusqu'à maintenant ce soir alors..." Vite, se taire, avant que raconter cette anecdote, inutile qui plus est, ne la ridiculise une fois de plus.
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sujet : Re: Lost in time | Stella [En cours] Mer 3 Jan - 22:30
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J’avais pu laisser mon regard explorer, s’enivrer devant tous ces multiples clichés avec chacun leur style propre à eux, leurs différences. Mes yeux avaient parcourus maintes et diverses détails, appréciant ce qui se trouvant eux, captivé par les captures d’une élève plus silencieuse. Intrigué par son art, je m’approche d’elle et ces photos exposés, curieux de savoir depuis combien de temps elle pratique la photo. Accompagné d’un verre de vin dans une main, mes yeux se perdent dans ses oeuvres lorsque sa voix tranche le silence.

Je l’écoute avec intérêt, ne connaissant pas du tout ce Daido lui servant d’inspiration. Je me note à moi-même d’aller jeter un coup en rentrant à Forks avant de continuer quelques retouches sur une séances effectué dernièrement pour ce magazine de New-York pour qui je travail depuis peu. J’hoche la tête, usant d’écoute active pour l’invité à poursuivre, en accord avec son envie de montrer le monde dans son plus simple. Sans mise en scène ni théâtre.

Pas de soucis, commentais-je alors qu’un esquisse de sourire ce dessine sur mes lèvres. Le léger manque de confiance de la demoiselle perçus en elle me rappel une ancienne collègue de lycée, qui trouvait plus simple de ce cacher derrière un masque que de se dévoiler sans crainte d’être jugé. Elle laissait aller sa gêne au travers ses oeuvres, des toiles toutes plus incroyables les unes que les autres. Elles exprimaient un mal-être aisément percevable avec sa touche agité. Chassant le souvenir de cette camarade de classe d’un clignement des yeux, j’inspire un grand coup.

C’est dommage. C’est du sacré beau travail. Ce noir et blanc mélangé avec le réalisme de vos photos est beaucoup plus intéressant que les clichés de chats de votre collègue.

Après, à chacun ses motivations et à chacun ses inspirations, mais de mon point de vue — et je sais qu’en tant que photographe, nous devons être versatile et nous adapter facilement, je préfère nettement une photo cru qui nous montre une réalité que trop tentent d’ignorer qu’une…photo d’un chat. Peut-être est-ce là ma nature de modificateur, mais je n’ai jamais eu de réelles affinités avec ces boules de poils, contrairement aux chiens. Sans m’en rendre compte, mes yeux avaient déviés sur les clichés, un peu plus loin, des dites photos de chats. Évidemment… les photos sont belles. Le rendu est intéressant et la mise en avant des différents félins n’est pas moche, c’est disons, simplement, moins ma tasse de thé. Prenant une petite gorgé du vin blanc sec et horrible dont j’avais horreur de boire — il n’y avait plus de champagne sur le plateau à ce moment, je cherche comment expliquer mes sujets le plus brièvement possible, n’ayant guère envie de m’attarder à parler de moi, surtout après ces journées étranges qui viennent de passer, où je tente malgré tout de vivre une vie normal comme s’il n’était rien arrivé.

Je fais un peu de photographie rurale et urbaine oui, mais un peu moins dernièrement. Il y avait hélas, moins de temps à mon horaire dans les dernières semaines pour me laisser aller simplement à photographier selon mes envies, mon inspiration. J’avais tenté — probablement d’une façon pas tellement correct ni morale, d’oublier Rosalia que j’avais fini par m’oublier un peu dans tous ça, à travers cette routine malsaine que j’avais monté, préférant me crouler sous le travail que de faire face à la réalité. J’étais l’antonyme même des photographies de la mademoiselle Davis, un mensonge à moi-même. Un paria au travers la foule.

C’est très réussis, en tous cas. J’aime particulièrement celle-ci. Du regard, je pointais ce que je devinais être un coin de la grande-ville, exposé sous sa forme la plus simple, mettant à nu le train train quotidien des habitants à hauteur d’yeux. Quelque chose de particulier attirait mon attention, peut-être était-ce ce visage flou au travers les autres qui me faisait incroyablement pensée à celui de la belle qui ne cessait d’hanter mes nuit ? Peut-être. Penchant légèrement la tête sur le côté pour mieux l’observer, je prend une nouvelle gorgé de ce liquide amer, sourcils froncés.




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sujet : Re: Lost in time | Stella [En cours] Mar 16 Jan - 9:33
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Milo & Stella - Janvier 2014

Lost in time


Que cet inconnu n'ai pas été présent durant son désastreux discour avait quelque chose de rassurant. Si personne n'en parlait à ce dernier, alors elle n'aurait aucune raison - à première vue - de le fuir au plus vite pour ne pas avoir à lire dans son regard l'ombre d'une moquerie, à moins qu'il ne vienne à trouver son travail médiocre ou ridicule, ce qui n'était visiblement pas le cas. Passant de ses clichés aux prunelles de son interlocuteur elle voyait en ceux-ci une certaine contemplation, mais surtout beaucoup de curiosité. L'imagination de la jeune femme se mit ainsi à travailler d'elle même. Arrivait-il à deviner, rien qu'en voyant ces photographies, quel appareil elle avait utilisé ? Ou peut-être arrivait-il d'un seul coup d'oeil à deviner les lieux, les angles choisis ? Se persuadant qu'il s'y connaissait parfaitement, sans aucune raison. Impression réaliste ou mensongère ? Prenait-il alors des notes mentales sur tout ça, ou se contentait-il d'en apprécier tous les détails ? Plongée dans ce grand bazar de l'esprit d'une jeune femme un peu trop imaginative parfois, elle le laissa dans sa découverte jusqu'à ce que ce dernier lui donne un avis qui les détourna tous deux de son propre travail. Les yeux de l'humaine suivant le parcourt de ceux de Milo pour finir leur course sur un exposé félin, rien qui déplaisait à Stella qui adorait cette espèce, appréciation visiblement pas tout à fait partagée par celui qui lui en parlait.

C'est très différent c'est clair, mais j'aime trop les chats pour ne pas aimer le style d'Iris. Iris avait la fâcheuse habitude de mâchouiller les capuchons de ses stylos, ce qui avait tendance à stresser Stella lorsque cette dernière avait un visu sur elle, mais à côté de ça elle l'appréciait, surtout parce qu'elles partageaient cette passion pour ces adorables ronronneurs, car il n'y avait pratiquement que de ça dont elles parlaient et que sortir de chez soi était aussi difficile pour l'une que pour l'autre. Ce qui se voyait d'ailleurs sur Iris qui n'avait probablement qu'une seule robe dans sa garde robe, celle-ci pleines de poils de chats, comme la majorité de ses vêtements. Mais j'ai l'impression que c'est pas votre truc à vous, vous préférez les chiens ? Stella s'attendait déjà à un oui, qui n'aimait pas les chats aimait les chiens, ou inversement, ou alors n'en aimait aucun ? L'américaine n'aimait pas cette éventualité, ce serait bien dommage que sa probable unique compagnie de ce soir ai - aux yeux de Stella - l'un des plus gros défauts du monde qu'est celui de n'aimer aucun animal.

Ce n'était cependant pas une raison pour rester focalisé sur le sujet toute la soirée, celle-ci n'étant d'ailleurs pas sur le thème de la cause animalière, revenir à ce qui avait réuni tant de personnes en ce lieu semblait donc plus malin. Et.. C'est vrai que c'est dommage, mais on ne peut pas dire que j'ai fais beaucoup d'efforts pour donner envie aux visiteurs de venir me voir. Même si j'ai honte de le dire, si vous étiez pas là je serais surement restée seule jusqu'à la fermeture... Si j'exagérais je pourrais même dire que vous avez sauvé ma soirée. Se voulant pourtant simplement sympathique, la brune pourrait lever les yeux au plafond à se demander pourquoi elle venait de dire quelque chose d'aussi ridicule... Ne voulait elle pas non plus lui faire une ode pour le remercier d'avoir la gentillesse de lui parler ? Son aisance naturelle avec les autres, celle qui lui avait tant permit de s'entourer à l'époque, n'était donc plus qu'un vague souvenir ? Un talent à jamais aux oubliettes ? En tout cas si elle continuait ainsi il était certain que ce Perkins n'allait pas rester longtemps.

Parler de photographie était définitivement plus sage et si le sujet pouvait à nouveau dévier sur quelqu'un d'autre qu'elle même ce n'était pas plus mal finalement. Et que faites vous alors dernièrement ? Quelque chose de plus travaillé ? Vous travaillez sur Seattle d'ailleurs ? D'une curiosité sans malveillance, avec pour but de peut être les mettre plus à l'aise, la demoiselle n'imaginait pas une seule seconde que cela pouvait avoir l'effet inverse. Dans son innocence elle suivit son geste du regard avant qu'un hochement de tête ne précède sa réponse. Oui je l'adore aussi, j'y trouvais beaucoup d'énergie en la prenant et je la sent encore... Tellement de vies qui se croisent sans se connaître, tant de mystères sur un seul cliché, c'est passionnant vous ne trouvez pas ? Se dirigeant vers une autre de ses œuvres elle la désigna pour le guider. Regardez celle là, on dirait que même les pierres du bâtiment derrière ces personnes ont leurs secrets, d'ailleurs à bien y regarder elle a un petit quelque chose de Vivian Maier cette photo... En plus moderne bien sûr !
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sujet : Re: Lost in time | Stella [En cours] Sam 10 Fév - 19:17
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Janvier 2014

J’avais vraiment essayé. Essayé de continuer de vivre comme s’il ne s’était rien passé; c’était donc pour cette raison qu’aujourd’hui je me retrouvais à Seattle — si près d’elle et si loin à la fois, avec l’optique que ma vie peut continuer normalement. Comme avant. Avant que je n’enlève la vie à un humain. Enfin, un chasseur mais tout de même : un humain. Deux, à dire vrai. Ce qui ne faisait de moi que rien de plus qu’un meurtrier, comme ces vampires que je méprisais tant, avant. J’avais eu de la difficulté à oublier ce moment avec elle, cette étrange soirée où la buveuse de sang s’était pointé chez moi en m’accusant d’avoir foutu le bordel chez elle. Et pourtant… discuter avec cette Stella de la photographie était la chose qui m’avait fait oublier le plus ce moment où j’étais passé du côté des méchants. Où je me sentais à nouveau quasi humain, ou tout du moins un peu moins monstrueux, un peu plus normal. Si normal je peux être.

Devant l’aveu de l’étudiante et son amour des chats, je ne pu retenir un bref rire, amusé. À chacun ses goûts, n’est-ce pas ? Je crois simplement que l’entente entre chien et chats en assez difficile, et ma nature de modificateur ne dois aider en rien le comportement de ces petites bêtes envers moi. Parce que oui, j’avais côtoyé ces animaux par le passé. Ces petites boules de poils qui ronronnent à la moindre attention, et te mordent à la moindre occasion. Cela dit, bien qu’effectivement les photographies félines de cette prénommé Iris soient jolies, rien ne bat à l’heure actuelle celles de mademoiselle Davis devant mes yeux dans cette pièce. C’est tout simplement…fascinant.

Je ne préfère pas les chiens, non. Je trouve simplement plus facile de comprendre un chien qu’un chat. C’est plus encadré, disons. Mes lèvres s’étirent en un sourire sincère. De dire que je préfère les chiens est bien là un euphémisme. Contraint de vivre tel qu’un, je ne peux simplement pas nier le fait que la hiérarchie canine bat de loin celle féline, qui ne semble n’en avoir aucune. Peut-être que je manque simplement de connaissance en la matière, ou que mon mode de vie est hélas beaucoup trop biaisé pour daigner accorder de l’importance à ces machines à ronrons? J’hausse les épaules, nonchalant, refusant d’être le héros de la soirée. Je suis certain que certains seraient venu vous voir. Parfois les gens les plus réservés sont ceux avec qui on a les plus belles conversations. Je la gratifie d’un clin d’oeil, levant ma coupe tout à son honneur. Elle n’avait clairement rien à se reprocher. La jeune femme était belle, semblait intelligente et en plus avait un oeil magique pour la photographie — ce que les gens qui viennent dans ce genre de soirée recherchent. À quoi donc s’inquiéter ? Je suis persuadé que quelqu’un serait venu la voir, aurait discuter de ses oeuvres avec elle et aurait fait la même découverte que moi : derrière ce petit bout de femme qui semble timide ce cache une grande artiste à la vision incroyable. Capable de percer l’ennuie de la société en immortalisant le moment. Puis, elle me questionna peut-être un peu maladroitement sur ce que je fais actuellement si je ne photographie que peu. J’avale de travers ma gorgé de vin blanc sec et pas tellement bon, toussant au passage. J’essuie du revers de la main le coin de ma bouche où je crois, à tort qu’un peu de vin ait tenté de s’échappé de celle-ci puis ricane à nouveau. Elle ne manque pas de tact la demoiselle.

Je travail pour un magazine basé à New-York. La joie du télétravail, j’imagine. À passer des heures dans mon chez moi à retoucher des photos et faire de la mise en page de texte pour ceux-ci. Je n’ai que très rarement besoin de m’y rendre, donc ça m’arrange. Désireux d’orienter la discussion ailleurs que sur ma personne, je pointe une image et écoute les mots de la créatrice vis à vis celle-ci et hoche la tête également. Peut-être même un peu de Diane Arbus, aussi. Vous avez su aller chercher beaucoup d’inspiration différentes, je ne me trompes ? On y voit bien votre touche personnelle, mais je ne sais pas.. vous avez immédiatement su capter mon attention avec ce cliché dès que j’ai entré. Je ne suis certainement pas le seul. Je marque une petite pause histoire de me tremper à nouveau les lèvres dans ce breuvage d’adulte et poursuit. En effet, l’énergie qu’on y capte est assez forte. Comme si toute la monotonie du quotidien était balayé par une étrange atmosphère, remplis de mystère derrière le niveau d’exposition ainsi que l’ouverture focale que vous avez utilisé pour donner cet aspect. Curieusement; sont-elles retouchés ou outre jouer un peu sur la luminosité vous n’avez rien fait ?

Je reporte mon attention sur les multiples images affichés, analysant un peu plus celle où clairement j’arrive à discerner, à bien observer, un léger reflet dans une vitrine, tel une photographie de Vivian Maier. Surprenante, cette étudiante.  




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sujet : Re: Lost in time | Stella [En cours] Ven 1 Mar - 11:04
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Milo & Stella - Janvier 2014

Lost in time


Oui je comprends, faut dire que si on devaient comparer leur docilité c'est clairement pas les chats qui auraient la première place. Stella se surprit à rire quelques secondes, elle ne l'avait pas fait depuis suffisamment longtemps pour avoir même oublié à quoi il ressemblait. Ce Milo savait visiblement la mettre à l'aise, car discuter avec lui devenait tout naturel. Il émanait de lui quelque chose de rassurant qu'elle n'aurait su expliquer, son assurance peut être ? Ou peut être une simplicité qu'elle savait apprécier, elle qui avait toujours eu du mal à s'entendre avec les personnes trop arrogantes. Celles-ci ayant le don de l'agacer facilement. Certain ? Vraiment ? Elle haussa les sourcils, surprise, avant que le clin d'oeil qui ponctua sa phrase ne vienne rosir légèrement ses joues, signe qu'elle appréciait le compliment qui lui arracha un sourire. Pour autant elle ne parvenait pas à lui donner raison, persuadé que le désastre de tantôt avait gaché toutes ses chances de se faire bien voir ce soir là, mais peut être était elle trop dramatique ? Ou bien était-ce cet homme qui était trop optimiste ? C'est très gentil mais j'ai vraiment des doutes là dessus.. Mais c'est pas grave, grace à vous je peux quand même profiter un peu de la soirée. Elle en profita pour vider son verre, une fois le sien levé à son tour, le reposant sur la première surface à sa portée lorsqu'une toux soudaine fut la première réponse à sa curiosité. Gorgée qui passait mal ou question dérangeante ? Pourtant, à y repenser, elle ne remarquait rien de particulier.

La jeune femme préféra garder le silence sur cet incident, il valait mieux ne pas agraver une gêne éventuelle. Ça a l'air intéressant comme boulot, puis ça vous évite de mettre le quart de votre salaire dans l'essence ou les transports au moins. C'est pour quel magazine ? Au grand damn du photographe, bien qu'elle n'en avait pas conscience, Stella ne semblait pas vouloir être l'unique sujet de leur échange. L'intérêt réciproque était essentiel à ses yeux. La dernière fois que je suis allée à New York j'étais adolescente, j'avais plutôt bien aimé, c'est très vivant, mais ça peut donner le tournis quand on sort d'une zone plus calme. Vous aimez bien vous ? A ce jour elle n'hésiterait pas longtemps entre un lieu calme et une grande ville pleine de monde et de bruits. Le silence avait quelque chose de sécuritaire et lui évitait d'être plus perturbée qu'elle ne l'était déjà, tandis qu'à l'époque, les coins branchés et bondés l'attiraient. Fêtarde elle était. Vous avez vraiment l'oeil, j'aime beaucoup Diane Arbus, je trouve son travail fascinant. C'est vrai que j'essaie de m'inspirer de sa façon d'explorer profondément la condition humaine. J'ai été captivée devant ses clichés à l'aspect si brute. Une étincelle revient briller dans ses prunelles, la passion qui s'éveille. J'ai passé beaucoup de temps dans des blibliothèques à admirer des artbook de photographes, ça m'aide beaucoup dans mon apprentissage et ça me motive à m'améliorer toujours plus. J'aimerais un jour avoir un niveau similaire qui me rendra fière. Un autre regard se glisse sur son travail, plus critique celui-ci, semblable à ces éternels insatisfaits qui ne parviennent pas à être ravis de ce qui est fait.

Son passé torturé n'arrangeait rien à cela, lorsqu'on vous persuade que vous ne valez rien, il devient difficile de ne pas le croire. Pour autant, il ne parvenait pas à briser son sourire ce soir là, faisant face à des propos plus que plaisants. Echanger avec un professionnel avait toujours quelque chose  d'exquis. En quelques minutes seulement vous avez compris ce que je voulais faire ressentir avec la plupart de mes clichés, je commence à vous admirer. Une lueur d'amusement glissa sur ses prunelles, sans pour autant y effacer sa sincérité. Ça va dépendre desquels, pour ce concours j'ai voulu m'essayer sur diverses façons de faire, j'ai trouvé nécessaire de faire quelques retouches pour certaines, pour l'embellir, ou cibler un peu plus le centre d'intérêt de la photo, mais pour d'autres je les ai laissées tel quel, celle qu'on regarde est justement restée dans son jus. Suite à énième regard sur son exposition, elle se fit d'avantage curieuse à son tour. J'aimerais savoir ce que vous pensez de ma focalisation sur le noir et blanc ? Je trouve que ça accentue l'authenticité et met d'avantage en valeur ce qui est exposé, mais je me dis que ça pourrait être un peu redondant aux yeux de certains...
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Milo Perkins
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Milo Perkins
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sujet : Re: Lost in time | Stella [En cours] Dim 31 Mar - 23:45
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Lost in time
Stella & Milo .01
Janvier 2014

Il n’y avait pas à dire, j’avais bien choisis ma journée pour passer voir l’exposition. Sans quoi, jamais je n’aurais rencontré cette jeune Stella et pu en apprendre plus sur ses motivations et sa vision artistique. Et aussi stupide cela pouvait-il être, je m’y voyais un peu au travers d’elle, lorsque j’avais fait mon cours à l’université de Los Angeles. Enfin, sur certains points. Pour d’autres, on repassera. Je n’ai pas toujours — pour ne pas dire jamais, été l’élève modèle. Remercions ma nature et ma solitude avec laquelle j’apprenais à vivre. Que je vivais très mal, en fait. Aussi misérable cela puisse-t’il être, tout comme le loup, le besoin d’appartenance est trop fort pour pouvoir demeurer sain sans personne. Seul, propre maitre de son destin.

Je ricane devant l’affirmation de la demoiselle, les chats sont de loin les bestioles les plus nonchalantes que je n’ai vue, à se croire les rois partout où ils vont. « Évidemment! J’en suis convaincu, même. » avais-je ajouté alors que mon clin d’oeil avait parsemé ses joues de rose. C’est qu’elle est sensible aux compliments, la demoiselle. Mal à l’aise d’être à nouveau le centre de la discussion, je détourne le regard un bref instant avant de le reporter sur la demoiselle, un petit sourire habillant mon visage. « « Grâce à moi » ? Allons, vous auriez pu en profiter même si je n’avais pas été là. » Un clin d’oeil ponctue ma phrase, pensant chacun de mes mots. Acquiesçant en hochant la tête, je suis la réponse de la jeune femme. « Effectivement, c’est pratique. Il ya toujours l’option d’aller vivre là-bas, mais on s’attache rapidement à l’état du Washington, vous ne trouvez pas ? Je travail pour la Vanity Fair, vous connaissez ? » Je reprend une gorgé de mon vin, ayant l’impression d’avoir la gorge légèrement sèche. Est-ce que parler de moi ainsi ne créerait pas une sorte d’anxiété chez moi que je ne saurais expliquer ? Peut-être. Pourtant, nul raisons de l’être… elle n’est pas en train de m’accuser de quoique que ce soit, et je ne fais que dire la vérité depuis le début. Et puis, quelles sont les chances que celle-ci soit un chasseurs ? Notion qui quitte difficilement mes pensées depuis que Rosalia en a été la cible, tout récemment. N’importe qui, si ça se trouve, peut en être un… Et bien qu’il ne faut pas se laisser berner par les apparences, celle-ci me semble loin du typique chasseur. Je souris, les yeux regardant le sol un instant.

« Je n’ai jamais vraiment porté attention à cette ville, mais oui, je crois que c’est un endroit où les gens vivent constamment à la course. Toujours pressés. Ça peut être fatiguant, à la longue. » Garçon de plage et de couchés de soleil sur la mer, je préfère le climat et l’environnement d’où j’ai grandis aux endroits où la neige ce permet de charmé le sol par moment — à savoir ce que je fais à Forks. Face à l’éclat qui habite le regard de la jeune adulte, je ne peux que me laisser emporter dans ses explications, fasciné par sa façon simple de voir les choses. « Tu peux déjà être fière — je peux vous tutoyer? » Fronçant un sourcils, j’espère ne pas la brusquer en optant pour un language plus familier. « Chère Stella, tes oeuvres sont sublimes, n’en doute jamais. » Et l’espace d’un instant, je cru sentir mes joues se rosir devant cette admiration que me portait l’étudiante, et à mesure que ses lèvres bougent suite à ma question, mes yeux glissent sur les oeuvres affichés, tous différentes à leur façon, et pourtant semblables de sa technique. Par réflex, ma main libre se porte à mon visage, glissant mes doigts sur mes lèvres alors que mes iris s’empreignent des images. « eh bien… Je crois que c’est relatif à chacun. On dit souvent que c’est le regardeur qui fait l’oeuvre, et clairement, on ne peut plaire à tout le monde. Donc non, je ne crois pas que ça devienne redondant. J’suis all in pour une exposition qu’en noir et blanc, moi, en tous cas. Ça vient chercher un aspect pure, que la couleur vient « gâcher », si je peux dire ainsi. Ainsi, l’oeil va chercher lui-même à faire ses accords et tentera de s’imaginer les couleurs lui-même, reconnaissant par exemple l’aspect foncé d’un tronc arbre au brun, et vice-versa, non ? » J’arque un sourcil en sa direction, curieux de connaitre son avis par apport à ma réponse.




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sujet : Re: Lost in time | Stella [En cours]
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