Edward Cullen ✧ You don’t get a second chance at humanity.
Isabella Cullen ✧ J'étais plus vivante que jamais. J'étais née pour être vampire.

Invité a écrit:

Edward A. Cullen.

112 ans † Vampire végétarien † Compositeur et pianiste classique.

« Twilight, again. Another ending. No matter how perfect the day is, it always has to end. »

† Célébrité : Robert Pattinson.

† Crédit(s) : strange-hell pour l'avatar, inconnu pour le gif et twilitty, rosaalee et mrs-assbutt pour les icons.

Identity

† Date et lieu de naissance : C'est à la veille de l'été, le 20 juin 1901 que le fils unique d'Edward et Elizabeth Masen décide de pointer le bout de son nez dans la grande et moderne ville de Chicago dans l'Etat de l'Illinois.
† Origines(s) : Américaine.
† Créateur : Nul autre que Carlisle qui, en le mordant, l'empêcha de succomber des suites de la grippe espagnole.
† Régime alimentaire : A l'instar des Cullen, Edward est un vampire végétarien. Nombreuses sont les fois où il fut tenté de céder à l'appel de la chair, notamment en présence de Bella quand elle était encore humaine. Fort heureusement, Edward est assez âgé pour maîtriser sa soif de sang humain.
† Âge : Physiquement, Edward aura éternellement dix-sept ans. Il accuse cependant plus d'un siècle au compteur, cent douze années pour être exact.
† Allégeance et rang : Plus que jamais, Edward voue une fidélité sans faille au Clan d'Olympic.
† Capacité : Tout comme Aro, Edward a un pouvoir télépathique qui lui permet, entre autres, de lire les pensées de celleux qui l’entourent. Toutefois, en dépit de leurs similitudes, les dons du Volturi et les siens se distinguent en un point manifeste. En effet, a contrario d’Aro, Edward n’a pas besoin de toucher saon interlocuteurice pour s’immiscer dans son esprit. Une divergence qui intrigua Aro au point de suggérer à Edward de les rejoindre, chose qu’il refusa.
† Statut civil : Marié pour toujours et à jamais à celle pour lequel son coeur ne cessera jamais de s'enflammer, Bella Cullen.
† Emploi/études : Si, fut un temps, Edward avait hésité à suivre un cursus en droit pour embrasser une carrière d'avocat comme son père biologique l'aurait voulu, il préféra se tourner vers sa passion première: la musique. Il occupe ses journée en tant que pianiste classique et compositeur. S'il est pianiste confirmé, il débute cependant dans son deuxième métier. Qu'importe, il avait l'éternité pour se perfectionner.
† Localisation : Il vit dans la forêt de Forks dans la villa des Cullen en compagnie de son épouse et de leur fille.
† Particularités : Il est admis par toustes que, autant du temps où il était encore mortel que vampire, Edward soit un homme magnifique dont la beauté est comparable à celle des statues grecques selon certaines. Le principal intéressé tient souvent à nuancer ces propos qui le gênent profondément puisqu’il considère que cette extrême beauté n’est qu’un leurre pour attirer ses proies. Depuis qu’il est vampire, Edward se voit uniquement comme un prédateur. Comme toute personne de son espèce, une fois transformé, ses sens se sont aiguisés (notamment son odorat, ce qui lui porta préjudice à plusieurs reprises) faisant de lui un presque surhomme. À noter qu’il est le plus rapide du clan Cullen, une qualité non négligeable lors des combats ou des parties de chasse.

My personality

Têtu - Mélancolique - Gentil - Compatissant - Charmant - Poli - Déterminé - Charismatique - Protecteur - Romantique - Esprit d’analyse - A tendance à sur-réagir - Anxieux - Très cultivé - Intelligent - Hyperactif - Intrépide - Gentleman - Loyal - Fidèle - Imprudent - Courageux.

Once upon a time...

Il n’y a rien de plus étrange que la démarche que je suis en train d’entreprendre. Enfin, disons que pour un homme dans ma condition, elle n’a que très peu de sens. J’estime que, lorsqu’elles sont écrites, les mémoires agissent comme un héritage. Elles existent pour se souvenir de la vie d’éminent personnage, pour que jamais ils ne tombent dans l’oubli après sa mort. Mais je ne me considère nullement comme éminent — quelle trace laisserais-je dans ce monde alors que ma vie ne prendra vraisemblablement jamais fin ? Je m’embarque dans un récit éternel que le papier ne pourra certainement plus combler à un moment donné. Je sais que je devrais écrire ces mots sur l’ordinateur pour pallier à ce problème, mais je crois que je suis bien trop vieux jeu pour cela et que je trouve un plus grand réconfort dans les pages de ce carnet — plus vivant que la rigidité technologique induite par l’ordinateur. Pour en revenir à notre sujet principal, je crois que Renesmée est à l’origine de mon envie de tout coucher sur le papier. Penser que je n’ai pas d’héritage à lui apporter est totalement stupide. Comment peut-elle prétendre connaître son père si elle n’en connaît pas le passé ? La transmission est importante pour savoir qui l’on est et d’où nous venons, qu’importe que notre vie soit éternelle ou non. Je le fais aussi sûrement pour Bella — je doute un jour oublier tous les moments de bonheur passés avec elle, mais la lecture est une part si importante de sa vie que revivre nos aventures au travers des mots lui apportera sûrement un réconfort plus important que les souvenirs qui peuvent se révéler capricieux par moment. J’investis également les pages de ce carnet pour moi — il faut bien tromper l’ennui de ces longues nuits d’une manière ou d’une autre.

Bien que ma vie n’ait eu très peu d’importance avant que ma route croise celle de Bella, je ne peux l’éluder comme elle fait partie de ce que je suis. Je naquis un jour avant le début de l’été, un an après le début du vingtième siècle. Je ne sais pas si cette avance et ce retard sont significatifs de quoique ce soit dans mon existence, mais je me trouve relativement ponctuel (serait-ce un juste milieu ?) À regret, même si je gagnai une grande famille plus tard, mes parents n’ont eu que moi. Je savais mon père aimant, mais il agit comme tous les pères de cette époque : avec pudeur, émotionnellement parlant. Je compris son amour discret au travers de l’éducation que je reçus qui me garantissait les meilleures places dans la société — en engageant les meilleurs professeurs dans ce but, mon père (ainsi que ma mère bien sûr) souhaita que je ne manque de rien. Le souci de mon père ne résidait pas seulement dans l’absence de démonstration sentimentale, mais également dans son absence tout court. Son travail l’obligeait à quitter trop souvent le foyer au gout de ma mère et du mien. Ma mère était une femme formidable qui me couvrait de tout l’amour et l’affection dont jamais besoin. Pas un seul jour ne s’écoule sans que je ne pense à elle et sans que je ressente la douleur du manque s’immiscer dans mon cœur. Mon père me manque également, mais ce n’est pas tout à fait la même chose — ma mère a occupé une place plus importante que lui dans ma vie et dans ma construction en tant qu’enfant et adolescent.

Même si j’étais excellent à l’école et que j’adorais tout ce que j’y apprenais, je ne souhaitais pas poursuivre une carrière d’avocat comme mon père l’aurait souhaité. La vie militaire me fascinait plus et surtout me donnait l’impression d’œuvrer concrètement pour mon pays et ceux dans le besoin. La guerre qui éclata en 1914 et l’engagement des États-Unis en 1917 dans ce conflit titillaient un peu plus ce vieux rêve que je caressais du bout des doigts. Malheureusement pour moi, la grippe espagnole qui ravagea le monde tua mon ambition dans l’œuf. J’ai contracté la maladie comme le reste de ma famille. Mon père mourut durant la première vague et me laissa complètement dévasté. Ma mère ne tarda pas à le rejoindre et j’appris par la suite que je lui devais ma salvation : c’est elle qui supplia Carlisle de tout faire pour me sauver. C’est ainsi, donc, que je devins ce que je suis aujourd’hui — une âme prisonnière dans le corps d’un adolescent de dix-sept ans. En dépit des profonds liens que j’ai noués avec lui et Esmée, cette condition m’était tour à tour insupportable et prodigieuse. C’est d’ailleurs aux côtés de Carlisle que je découvris mes dons télépathiques. Toutefois, sûrement encore entaché par les défauts de l’adolescence, je me souviens m’être rebellé contre mes parents d’adoption à la fin des années vingt. Je devais contrôler ma soif, mes pulsions, mais je n’y arrivais point. J’estimais ma cause juste lorsque je me servais de ma prédation uniquement contre ceux qui pourrissaient la société, notamment l’ex-mari d’Esmée, mais je compris rapidement mon erreur. Agir ainsi me rendait tout aussi monstrueux que ces hommes mauvais et ce n’est pas le genre de personne que je souhaitais devenir. Notre clan s’est stabilisé à l’arrivée de Rosalie, Emmett, Jasper puis Alice. Dire que Rosalie devait être mon épouse ! Les choses sont mieux ainsi finalement ; Emmett est parfait pour elle tout comme Bella est parfaite pour moi. Je ne dis pas que les choses ont été tous les jours faciles entre nous, mais globalement ils étaient heureux, plus heureux en tout cas que la fin que j’étais censé avoir. À notre arrivée en Alaska, nous avons fait la rencontre du Clan Denali, végétarien comme nous. J’ai ensuite étudié dans plusieurs universités et obtenu deux diplômes en médecine. Le plus amusant a sûrement été de me présenter tous les cinquante ans comme étant un nouveau hériter de mes parents tous les cinquante ans afin de ne pas perdre ce qui m’était dû. Peut-être devrais-je envoyer Bella, Renesmée ou les deux pour varier les plaisirs de l’amusement comme on dit.

Pendant de trop longues années, je menai cette vie qui avait le gout de la monotonie et de la lassitude. J’avais beau essayer de les tromper par tous les moyens, elles agissaient comme deux maîtresses si entichées de moi qu’elles ne pouvaient se résoudre à me laisser en paix. Mais, fort heureusement pour moi, ma vie prit tout son sens le jour où je rencontrai Bella. Je ne saurais décrire avec exactitude ce que j’ai ressenti le jour où mes yeux se sont posés sur elle la toute première fois — aucun mot ne serait assez puissant pour décrire le cataclysme qui m’a submergé. Définir cette réalité au travers d’une pauvreté phrastique ne serait pas rendre service à notre histoire aussi belle que complexe et j’aurais même l’impression de la déshonorer en cherchant à la qualifier avec des mots au-deçà de la réalité que nous avons vécue. Je sais qu’elle me haïra pour ceci, mais j’ai besoin de le dire dans son entièreté : Isabella fut ce vent magmatique soufflé par une entité que je ne saurais nommer sur mon cœur glacé qui, je croyais, à tort, n’étais plus supposé se réchauffer. Je naquis trois fois au total : en tant qu’humain, en tant que vampire et en tant qu’homme passionnément amoureux. Bien des femmes m’ont été proposées pourtant, mais aucune n’a su trouver sa place en mon âme comme Isabella l’avait fait le plus naturellement du monde. À la seconde où elle est entrée dans ma vie, j’ai su qu’elle n’en sortirait plus. Pourtant, j’ai longtemps lutté contre un tel sentiment — pour elle. Pour sa sécurité. Qu’est-ce qu’un prédateur comme moi aurait à lui offrir ? Rien, si ce n’est une vie de danger, d’angoisse au cours de laquelle je pouvais la tuer à n’importe quel moment. Contrôler ma soif de sang, du sien, était une difficulté comme jamais je n’en ai surmonté auparavant. Bien des fois j’ai failli craquer, me rattrapant de justesse — jamais je ne me serai pardonné de lui avoir fait du mal si une telle horreur s’était produite. Le simple fait de poser cette réalité sur le papier me broie le cœur et me replonge dans des états d’esprit que je ne souhaitais plus nécessairement retrouver. Or, ils ne seront jamais à la hauteur du mal que j’ai pu lui infliger en disparaissant. J’avais cru faire la meilleure chose pour elle en disparaissant de sa vie et en étanchant ma soif lors de longues parties de chasse, mais ce fut tout le contraire qui se produisit — je l’ai brisé, détruite. Même si c’est du passé désormais, je crois qu’une part en moi s’en voudra éternellement de l’avoir mise dans un tel état de décrépitude émotionnelle. En tout cas, j’ai toujours cru agir dans son intérêt, même quand ses sentiments furent troublés par la présence de Jacob. À contrecœur, je me suis mis en retrait, car qu’importe le fait que cette histoire ait ébranlé mon égo, fissuré un peu plus ce cœur endormi, je n’ai jamais voulu rien d’autre que son bonheur. Je crois que j’ai pu ressentir une partie de sa douleur le jour où je l’ai cru par erreur morte et que je me suis présenté aux Volturi pour qu’ils m’enlèvent la vie — à quoi bon continuer cette existence sans but si Bella n’est plus ? Fort heureusement pour elle et moi, tout ceci n’a été que quiproquo et qu’importe les embuches, nous nous sommes toujours retrouvés. J’ai compris à partir de cet instant qu’il était inutile de lutter, malgré quelques persistances de mon côté. Nous nous retrouverons toujours. Alors que Bella acceptait parfaitement mon statut de vampire, je refusais encore de la transformer malgré son insistance. Il était inconcevable pour moi qu’elle devienne ce monstre sans âme condamné à une éternité monotone en dépit de l’amour passionné que nous vivions. Visiblement, elle était prête à ce sacrifice, pour moi. Le destin m’avait forcé la main.

Me marier avec elle fut la plus belle des choses, la plus insensée aussi — notre histoire était une course perpétuelle contre le temps, contre mon vampirisme qui la tuerait à la longue. Qu’en serait-il de nous dans cinq ans ? dix ? Plus encore ? Je laissais l’insouciance de ma femme dissiper mon éternel pragmatisme. Bella avait bien entendu des envies et préoccupations très humaines, éloignées des miennes. Consommer notre mariage m’était bien entendu venu à l’esprit, mais pas tant que le risque de la tuer pendant l’acte sera présent. Toutefois, ma femme avait une force de persuasion remarquable et il m’était impossible de lui refuser une chose dont j’avais tout autant envie qu’elle. Nos débuts ont été scabreux, certes, mais dieu qu’il était extraordinaire de retrouver lors de cette communion des corps la même passion qu’entretenait chastement nos âmes ! Bella me rendait fou, dans tous les sens du terme et si nous n’avions pas des obligations chacun de notre côté, je crois bien que j’aurais pu rester toute l’éternité avec elle sur l’ile d’Esmée. Je devrais peut-être lui suggérer l’idée d’ailleurs…

Lorsque je mentionnais plus haut que le destin m’avait forcé la main, voici le moment dont il est question : la naissance de notre fille, Renesmée. La grossesse de Bella fut particulièrement difficile à digérer pour moi. Je regrette bien évidemment cet avis pris à la hâte, mais j’assume le fait que j’ai souhaité que Bella avorte. Elle risquait de mourir si elle menait à terme cette grossesse. Puis, que pourrais-je offrir à cet enfant qui l’aurait tué, dans un monde où il n’était pas désiré comme sa conception tout comme sa naissance étaient interdites dans notre monde. Malgré l’opposition de Bella, mon envie était telle que j’allai jusqu’à solliciter l’aide de Jacob pour la pousser à avorter. Néanmoins, entendre les pensées de ma future fille me ramena à la raison — elle nous aimait, déjà. Même moi, malgré le vœu que j’avais émis. En dépit de ce bonheur éphémère, l’état de Bella ne cessait de se dégrader au fil des mois et j’assistais, impuissant, au déclin de ma femme, de celle sans qui ma vie n’avait aucun intérêt. J’avais tant de choses à gérer, à penser, tant d’angoisse à évacuer. J’étais complètement démuni et déboussolé face à l’inévitable qui se présentait. Je risquais de la perdre, de perdre ma fille — qu’adviendrait-il de moi sans elles ? Ferais-je un bon père si l’enfant survivait à contrario de Bella ? Jamais je ne me remettrais de cette vision d’horreur que la fin de sa grossesse m’offrait : elle ressemblait à un cadavre pourrissant de l’intérieur, car vampirisé par l’être logé en elle. L’accouchement était tout aussi catastrophique que tout le reste. Ne pouvant me résoudre à l’idée de voir ma femme mourir juste après la naissance de notre fille, je la transformai. Bien que la survie de Bella me comble de bonheur avec la présence de Renesmée dans notre vie, il me fallut un certain temps avant d’accepter ce que j’avais fait. Même si on m’avait assuré que cela avait été la meilleure chose à faire et la plus belle preuve d’amour que j’ai pu lui donner, je ne voyais pas les choses ainsi. J’avais condamné Bella à la même vie que la mienne. J’arrivais à me rassurer en voyant qu’elle s’adaptait très bien à sa nouvelle condition. Je dois reconnaitre que j’étais même plutôt fier de son adaptation rapide — ma femme dans toute sa splendeur. Renesmée de son côté grandit vite, trop. Je n’acceptais toujours pas, ou du moins difficilement, que Jacob se soit imprégné d’elle, mais d’autres ennuis plus graves encore arrivèrent quand son existence remonta jusqu’aux oreilles des Volturi. Protéger Renesmée a toujours été notre préoccupation première avec Bella, mais bien plus encore avec le danger qui courait. Fort heureusement, grâce à une enquête approfondie basée sur de nombreux témoignages que nous avons soigneusement rassemblés, nous réussissons à convaincre les Volturi de l’inoffensivité de notre fille. À la suite de ce conflit, maintenant que la paix était assurée, Bella me fit le plus beau des cadeaux en levant son bouclier, me permettant ainsi de connaître l’étendue de son amour à mon endroit en fouillant dans ses pensées pour la toute première fois de mon existence.

Cinq ans après ces événements, je crus naïvement que nous pourrions enfin vivre la vie paisible dont nous rêvions. C’était sans compter sur cette série de disparitions et de meurtres de vampires et de modificateurs qui mit à sac notre tranquillité et ma sérénité d’esprit. C’est bien la première fois depuis que j’ai ouvert ce journal que j’ai peur de le continuer, par crainte de la réalité que les mots m’amèneraient à coucher sur le papier qui ne s’attend probablement pas à absorber autant de sang. Serais-je même capable de le continuer ? Pas une seconde ne s’écoule sans que je m’inquiète pour le sort de mon clan, de ma famille et de ma fille. Qui sera le prochain sur la liste de ces mystérieuses disparitions ? Je n’ai jamais été très croyant, mais je crois bien que la prière soit ma seule et unique solution en ces temps troublés.

Behind the screen

† Pseudo : Skywalcino.† Âge : 26 ans. † Pays/région : France. † Comment tu as découvert le forum ? Je suis l'ancienne Bella, et vous me manquiez.      † Un dernier mot ? Je vous lâche plus.  

codage par epsilon design par aaricia

Invité a écrit:

Isabella "Bella" Marie (Swan) Cullen

26 ans † Vampire végétarien † Libraire

« These violent delights have violent ends, and in their triumph die like fire and powder, which as they kiss consume »

† Célébrité : Kristen Stewart.

† Crédit(s) : Lilousilver pour l'avatar, Wifflegif pour le gif, xhannie et aesthetic--collective pour les icons.

Identity

† Date et lieu de naissance : Celle que l’on surnomme Bella naquit à la toute fin de l’été, un certain 13 septembre 1987 à Forks dans l’État de Washington.
† Origines(s) : Américaine.
† Créateur : Nul autre que son époux tant aimé, Edward Cullen.
† Régime alimentaire : A l'instar des Cullen, Bella est un vampire végétarien.
† Âge : Physiquement, Bella aura éternellement dix-huit ans. Elle accuse cependant vingt-six années au compteur.
† Allégeance et rang : Plus que jamais, Bella voue une fidélité sans faille au Clan d'Olympic.
† Capacité : Bien avant qu’elle ne soit transformée en vampire, Bella avait la capacité de se protéger (ainsi que son entourage) des dons qui affectent l’esprit. La force de ce bouclier mental s’est intensifiée une fois qu’elle est devenue immortelle. Ce don prend racine dans son envie de protéger son esprit par-dessus tout, rendant impossible la perforation de son bouclier. À côté de cela, bien qu’elle soit une nouvelle née, elle a une surprenante maitrise d’elle-même et de sa soif. En effet, lors de sa première chasse, elle est tout à fait capable de s’éloigner du sang humain et parvient même à se retenir d’attaquer son père. Déjà très intelligente dans sa vie humaine, presque perfectionniste, Bella excelle dans sa vie de vampire. Elle est également capable de détecter les changements très mineurs sur l’apparence physique des uns et des autres. Elle affirme également que devenir vampire lui a permis d’avoir une vision plus claire du monde. Elle sait également se battre, grâce à un entrainement qu’elle a suivi notamment aux côtés d’Edward, Rosalie et Emmett par exemple.
† Statut civil : Mariée pour toujours et à jamais à celui pour lequel son coeur ne cessera jamais de s'enflammer, Edward Cullen.
† Emploi/études : Bien qu’elle aurait aimé poursuivre son rêve en devenant professeur de littérature au lycée, son physique juvénile la condamnerait au statut d’étudiante pour l’éternité. Elle choisit alors de suivre sa seconde passion en devenant libraire au sein de sa propre boutique baptisée Lunar Bookshop.
† Localisation : Elle vit dans la forêt de Forks dans la villa des Cullen en compagnie de son époux et de leur fille.
† Particularités : Avant même d’être vampire, le teint de Bella est décrit comme étant incroyablement pâle, un teint blême qui ressort d’autant plus à cause de ses longs cheveux raides et brun très foncé. N’ayant que très peu d’intérêt pour la mode, Bella ne troque que très rarement son habituelle chemise-jean-baskets pour autre chose. Le maquillage ? Très peu pour elle aussi ! Il faut vraiment une occasion très spéciale pour que la jeune femme couvre son visage d’un quelconque artifice. Elle n’a pas conscience de son charme et de sa beauté. Elle la nie presque, malgré l’intérêt qu’un bon nombre de garçons du lycée, dont Edward, lui portent. De l’aveu de plusieurs vampires, son sang est incroyablement attirant — une caractéristique qui est exagérément plus intense pour Edward à tel point que cette odeur le fait bien souvent vaciller, mettant à rude épreuve sa résistance quand elle était encore humaine. À l’endroit où elle fut mordue par James, Bella a une cicatrice pâle et en forme de croissant de lune sur la main. À noter qu’elle est toujours plus froide de quelques degrés par rapport au reste de son corps. Après avoir été transformée, ses iris se colorent d’un rouge pourpre. Ils se teintent d’or pendant plusieurs mois lorsque Bella se nourrit de sang animal.

My personality

Maladroite - solitaire - calme - bienveillante - compatissante - attentionnée - protectrice - loyale - simple - intelligente - curieuse - clairvoyante - secrète - discrète - têtue - sarcastique - courageuse - téméraire - cinglante.

Once upon a time...

Bella n’a jamais été en phase avec ses pairs. Sa naissance en elle-même dénote d’un certain décalage : ses parents n’avaient rien à faire ensemble. Si l’adage dit pourtant que les opposés s’attirent, Charlie et Renée ont prouvé qu’ils n’étaient cependant pas voués à rester longtemps ensemble. Renée était trop vivante, trop excentrique et lumineuse pour vivre dans le froid et le brouillard de Forks en compagnie de son époux éteint et discret, chérissant le mutisme et le calme plus que sa propre femme. Il ne l’avait pas nécessairement retenue quand elle partit pour Downey en Californie avec leur fille. Du côté de Bella, qu’importe qu’elle soit en Californie, au Nevada ou à Forks, jamais elle ne trouva sa place nulle part durant son enfance et son adolescence.

Si elle pensait que Forks serait son enfer en déménageant là-bas en plein milieu de l’année scolaire pour laisser la liberté à sa mère de voyager avec son mari, Phil, c’est pourtant tout l’inverse qu’elle trouva. Ce bouleversement se nomme Edward Cullen. Son incroyable beauté et perfection physique suscite rapidement la curiosité et la fascination de Bella. Une obsession qui s’étend au reste de la famille d’Edward aussi mystérieuse et magnifique que lui. Elle s’interroge aussi sur son comportement étrange à son égard comme lors du premier cours de biologie avancé qu’ils ont eu ensemble. Aussi, à cause de l’extrême maladresse de Bella, il arrive que, bien souvent, Edward se retrouve dans les parages pour la sortir de situations embarrassantes. La plus marquante reste la fois où Bella faillit mourir écrasée par la voiture de Tyler Crowley. Sans qu’elle ne parvienne à l’expliquer, Edward se retrouva en un éclair à côté d’elle et repoussa la voiture à main nue. Amoureuse de la logique et des explications, la curiosité de Bella à l’égard d’Edward et du restant des Cullen ne fait que s’accroître. Elle devient de plus en plus suspicieuse après une discussion avec Jacob Black lors d’une sortie à La Push. Il lui apprend que, selon les légendes de sa famille, les Cullen sont des vampires, mais qu’ils ne se nourrissent pas de sang humain. Si Bella trouve cette légende absurde, l’idée fait malgré tout son petit bonhomme de chemin dans sa tête.

Par la suite, un malheureux incident rapproche davantage Edward et Bella. Alors qu’elle est sur le point de se faire agresser par un groupe d’hommes à Port Angeles, Edward débarque mystérieusement pour la sauver. Après quoi, ils dînent ensemble et Bella confie à Edward ses hypothèses au sujet de sa nature tandis qu’ils discutent également des dons de l’homme et de l’immunité de Bella face à ceux-ci. À la suite de l’incident à Port Angeles, Edward et Bella apprennent à mieux se connaître, non sans mal puisque le jeune homme lui révèle qu’il est difficile pour lui de se tenir à ses côtés en raison de l’odeur de son sang. Pourtant, malgré les craintes d’Edward, lui et Bella finissent par tomber passionnément amoureux et donnent une chance à cette histoire qui, sur le papier, semble vouée à l’échec. Rapidement, Edward présente Bella à sa famille et passe régulièrement du temps avec eux. Lors d’un match de baseball avec les Cullen, Bella fait la connaissance d’autres vampires, mais l’un d’entre eux, James, devine rapidement la vraie nature de la jeune femme et n’aura de cesse de la traquer à partir de ce moment. La sécurité de Bella étant leur principale priorité, les Cullen s’acharneront à la protéger. Néanmoins, James arrivera malgré tout à ses fins en attirant Bella dans son ancien studio de danse. Il parvient à la mordre au poignet, la transformant presque en vampire. Toutefois, Edward arrive finalement et aspire non sans mal le venin. Même si les deux autres membres du clan de James ont pris la fuite, la famille Cullen réussit à le détruire. Bella est ensuite envoyée à l’hôpital, Edward veillant sur elle jour et nuit. À son réveil, il lui confie qu’Alice l’a vu devenir vampire. Même si Bella n’est pas contre cette transformation pour rester avec lui pour l’éternité, Edward n’est pas de cet avis et tient à ce qu’elle reste humaine aussi longtemps que possible.

Le dix-huitième anniversaire de Bella est compliqué à vivre pour elle, car elle prend conscience du fait qu’elle vieillit alors qu’Edward conserve le physique de ses dix-sept ans pour l’éternité. Elle ne veut donc pas le fêter, mais son amoureux insiste pour la faire venir chez lui malgré tout — Alice a organisé une fête pour elle. La fête est cependant perturbée à cause de la maladresse de Bella : elle se coupe en ouvrant un de ses cadeaux, ce qui excite l’appétit de Jasper, encore jeune vampire. Il essaie de l’attaquer, mais Edward repousse Bella pour la protéger. Cette dernière s’entaille gravement le bras lorsqu’elle tombe sur la table. Même si les jours de Bella ne sont absolument pas en danger, Edward ne peut continuer son histoire avec elle, estimant qu’elle est en danger avec sa famille. Il la quitte, la laissant avec le cœur brisé. Bella sombre alors dans une profonde dépression. Quatre mois après le départ d’Edward, inquiet de l’état de sa fille, Charlie la menace de l’envoyer à Jacksonville auprès de sa mère. Pour le calmer, elle essaie tant bien que mal de mener une adolescence normale. Après une sortie à Port Angeles, en surprenant quatre hommes devant un bar, Bella entend la voix d’Edward dans la tête qui lui somme de faire demi-tour. La jeune femme comprend alors qu’elle peut l’entendre chaque fois qu’elle se trouve dans une situation périlleuse. C’est pour cette raison qu’elle va à la rencontre de Jacob et le convainc de lui apprendre à faire de la moto. Une amitié nait entre les deux jusqu’au jour où Jacob ne répond plus à aucun de ses appels et lui ordonne de ne pas venir chez lui. Au bout de deux semaines, Bella finit par apprendre que Jacob est devenu un loup-garou et qu’il avait évité Bella pour préserver sa sécurité. En même temps, elle apprend le retour de Laurent et Victoria, les deux autres vampires du clan de James, qui sont plus que déterminés à l’éliminer pour assouvir leur soif de vengeance. La meute de Jacob se met à traquet Victoria grâce à l’aide de Bella.

Désireuse d’entendre la voix d’Edward à nouveau, Bella se met volontairement en danger en sautant d’une falaise et manque de se noyer. En parallèle, Alice voit Bella dans l’une de ses visions en train de sauter de ladite falaise et pense que la jeune femme à l’intention de se suicider. Elle décide alors de rentrer à Forks, mais dans le même temps, Rosalie fait savoir à Edward de manière erronée que Bella est morte. Meurtri, il décide de se rendre à Volterra pour demander aux Volturi de le tuer. Fortes de cette nouvelle catastrophique, Alice et Bella se rendent en Italie pour empêcher la mort d’Edward. Une discussion s’engage avec les Volturi et l’immunité de Bella est testée. Une place au sein des Volturi lui est offerte en compagnie d’Edward et Alice, mais tous trois refusent. Seulement, ils n’ont nul autre choix que de promettre la transformation de Bella puisque les Volturi considèrent qu’elle sait bien trop de choses sur les vampires pour pouvoir prétendre conserver sa place d’humaine.

À leur retour à Forks, Edward s’explique au sujet des raisons qui l’ont poussé à rompre avec Bella. Il la supplie de lui pardonner après lui avoir confessé la profondeur de l’amour qui lui porte et juré de ne plus jamais la quitter. Leur relation reprend là où ils l’ont laissé, mais une fois de plus, le vampire refuse de transformer sa belle. Un conseil de famille entre les Cullen a lieu à la demande de Bella, leur demandant de statuer sur sa transformation. Tous votent pour à l’exception de Rosalie et d’Edward qui est scandalisé par la décision de sa famille. Il finit par accepter l’inévitable, seulement si Bella accepte d’abord de l’épouser. Un point noir vient cependant gangréner ce bonheur retrouvé : Jacob rappelle à Edward le traité de paix qui unit les Quileutes et les Cullen — ils ont interdiction de mordre un humain, ce qui met Bella dans une position extrêmement délicate. Si elle n’est pas transformée, les Volturi la tueront. Or, si elle devient vampire, une guerre entre les Quileute et les Cullen éclatera inévitablement.

Bella et Edward mènent pour le moment une existence paisible, même si cette dernière est parasitée par une lettre de Jacob qui met fin à son amitié avec Bella. Pour autant, cela ne perturbe pas tant que cela la jeune femme qui ne pense qu’à sa future vie de vampire alors qu’Edward la pousse à remplir des formulaires pour Dartmouth après avoir été acceptée à l’université de l’Alaska. Toutefois, comme chacun sait, cette tranquillité est toujours de courte durée. En lisant le journal, Edward apprend qu’une série de meurtres inquiétants a eu lieu à Seattle. Il explique à Bella que cela ne peut qu’être l’œuvre d’un jeune vampire. En parallèle, les tensions entre Jacob et Edward s’accroissent avec Bella au milieu qui tente de calmer les choses. Une mauvaise nouvelle n’arrivant jamais seule, Alice voit dans l’une de ses visions que Victoria est de retour à Forks. Le conflit entre Edward et Jacob se poursuit surtout lorsque le premier apprend que le second à embrasser Bella contre son gré. De violentes menaces sont proférées, faisant basculer le différend entre les deux hommes dans une autre dimension.

Plus tard, Bella et les autres apprendront que les meurtres de Seattle sont bien l’œuvre de jeunes vampires, mais surtout qu’ils sont toute une armée sous le contrôle de Victoria. Malgré les mises en garde de Rosalie et Jasper qui lui ont raconté leur histoire, Bella est toujours déterminée à l’idée de devenir vampire. Elle n’a d’ailleurs nul autre choix que d’accepter de se fiancer avec Edward après qu’il refusa de faire l’amour avec elle — même si Bella est persuadé du contraire, il craint de la tuer au cours de l’ébat. Jacob est fou de rage en apprenant la nouvelle. Malgré ses considérations bien futiles, une guerre se prépare puisqu’il est évident que Victoria vient pour Bella. N’ayant aucun autre allié, les Cullen s’allient aux Quileutes. Le but premier est de garder Bella en sécurité, une chose dont Edward et Jacob s’acquittent en priorité. Ce dernier affirme à Bella son intention de mourir au cours de la bataille comme jamais cette dernière ne l’aimera en retour. Après cet aveu, Bella demande à Jacob de l’embrasser et découvre avec effroi qu’elle nourrit des sentiments pour lui. Toutefois, contre toute attente, Edward n’est pas fâché contre elle, car l’amour que Bella lui porte est infiniment plus grand et profond que celui éprouvé pour le loup-garou. La bataille fait rage après que Victoria a découvert l’endroit où était caché Bella. À l’issue de ce conflit violent, Edward finit par tuer la vampire. Jacob se blessa durant la bataille, mais ne meurt pas comme il l’avait prévu. Bella finit par lui dire qu’elle avait choisi Edward et Jacob lui promet de son côté de ne plus se mettre entre eux à l’avenir.

Après la bataille qui vient d’avoir lieu, Bella se décide enfin pour son mariage avec Edward. Elle accepte qu’Alice s’occupe des préparatifs et fait d’elle sa demoiselle d’honneur par la même occasion. Les deux tourtereaux annoncent leur mariage à leur famille et reçoivent leur bénédiction, même si Charlie est encore un peu réticent. Le mariage se passe sans encombre, si on omet la dispute entre Jacob et Bella, puis le couple s’envole pour l’ile d’Esmée pour leur lune de miel. Leur mariage consommé, Bella tombe enceinte à l’issue de ce séjour d’un enfant mi-vampire, mi-humain. La grossesse est un véritable calvaire pour Bella qui périclite gravement, mourant à petit feu en raison du développement extrêmement rapide du bébé. Plus la grossesse avance, plus le corps de Bella est dans un état déplorable, se retrouvant avec de nombreuses côtes cassées entre autres. L’accouchement est tout aussi chaotique et violent. Bella a juste le temps de souffler le prénom de sa fille avant que son cœur ne cesse de battre. C’est à ce moment-là qu’Edward la transforme avec succès. Si au fil du temps et de l’acclimatation de Bella à sa nouvelle condition le clan Cullen s’inquiète de sa soif, ils découvrent avec surprise qu’elle gère et contrôle bien son envie de sang. Des tensions éclatent entre temps lorsque Bella découvre que Jacob s’est finalement imprégné de sa fille, mais la jeune femme finit par se calmer. Son enfant d’ailleurs grandit à la vitesse de l’éclair, ce qui déroute assez la jeune femme. Également, puisque la naissance de Renesmée est contre nature et abjecte dans le monde des vampires, sa famille fait tout pour l’élever dans le secret et surtout loin des regards des Volturi.

Plusieurs mois plus tard, l’existence de Renesmée est malheureusement découverte par Irina, une autre vampire, lors d’une partie de chasse entre Jacob, Bella et sa fille. Les Volturi sont alors alertés et la mort de l’enfant est décrétée. Alors qu’Alice et Jasper sont partis en mission secrète, les Cullen cherchent d’autres vampires pour témoigner en leur faveur au sujet de Renesmée. Dans le même temps, Bella se découvre un nouveau pouvoir : celui de se protéger contre les pouvoirs des autres vampires. Les Volturi finissent par débarquer. Les Cullen leur font alors comprendre que Renesmée n’est qu’à moitié vampire. En dépit des négociations, la guerre est pourtant sur le point d’éclater, mais Alice et Jasper arrivent juste à temps, accompagnés d’autres vampires dont un qui l’est à moitié pour prouver que Renesmée est en sécurité dans ce monde de vampire, qu’elle peut vivre sans crainte.

Désormais, maintenant que tous les soucis ont été résolus et qu’ils sont en sécurité avec leur fille et leur famille respective, Bella et Edward peuvent vivre leur vie comme ils l’entendent et surtout en étant heureux pour toujours.

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† Pseudo : Skywalcino. † Âge : 25 ans. † Pays/région : France. † Comment tu as découvert le forum ? Une vilaine petite pub tentatrice qui a appâté l'être faible que je suis.   † Un dernier mot ? Hâte de commencer.  

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